Les premières mesures sociales annoncées par le nouveau gouvernement, ajoutées à la sobriété du style du président Macky Sall, traduisent la philosophie de transparence du nouveau pouvoir qui se veut "un gouvernement de mission et d’action", a soutenu Abou Lô, ministre de la Communication, des Télécommunications et des TIC.
Le Premier ministre Abdoul Mbaye a récemment annoncé que le gouvernement a décidé d’une baisse des prix de certaines denrées de première nécessité comme le riz, l’huile et le sucre, moins d’un mois après l’avènement de Macky Sall à la magistrature suprême.
‘’Le prix de l’huile compris entre 1.100 et 1.200 francs CFA est fixé à 960. Le sucre blanc cristallisé qui coûtait 690 francs le kilo est ramené à 580. Le riz ordinaire qui était à 325 francs le kilo coûte 280. Le parfumé qui était compris entre 475 et 550 francs le kilo est ramené à 450’’, a précisé lundi le Premier ministre Abdoul Mbaye.
L’Union nationale des commerçants et industriels du Sénégal (UNACOIS/JAPPO) et le gouvernement ont signé lundi un accord pour "veiller ensemble à l’application effective et efficace" des nouveaux prix des denrées de première nécessité fixés par arrêté gouvernemental.
Commentant ces mesures, le ministre de la Communication, a déclaré à l’APS qu’‘’il y a une philosophie qui sous-tend cela, c’est une philosophie de transparence selon laquelle tout ce que le gouvernement fait, doit être communiqué aux Sénégalais. Ce que le gouvernement ne peut faire aussi, il le communiquera aux Sénégalais, pour qu’il y ait une transparence la plus absolue’’.
La réduction des prix des denrées de première nécessité constituait une promesse électorale du président Macky Sall, comme la mesure concernant l’abrogation des derniers découpages administratifs décidés par le régime sortant.
De même, Abou Lô a aussi évoqué, entre autres mesures, les procédures visant à récupérer les voitures disparus du parc automobile de la présidence de la République, le décret abrogeant la 4e licence de téléphonie cédée à un opérateur privé sénégalais.
‘’De manière générale, ce gouvernement est un gouvernement de mission et d’action. Nous voulons travailler. Nous voulons être près des Sénégalais. Nous voulons alléger les charges des Sénégalais. Nous sommes 13 millions de Sénégalais et la majeure partie de ces 13 millions vit dans la campagne et les banlieues. Donc, essayer de satisfaire les besoins de ces populations, c’est ce qui nous anime’’, a-t-il dit.
Il s’agit, selon le ministre de la Communication et des Télécommunications de ‘’répondre à la demande sociale, à savoir alléger les charges des ménages, du monde paysan en leur octroyant des semences, des engrais et tout ce qui fait une bonne campagne agricole’’.
Il rappelé que ‘’bien avant son élection’’, le président Macky Sall avait ‘’mis l’accent sur le monde rural. (…) Il a déjà dit dès le départ que sa priorité c’est le monde paysan, la grande masse des Sénégalais qui ne bénéficient pas de certains privilèges. C’est une philosophie globale suivant laquelle on entend servir la grande majorité des Sénégalais’’.
Interrogé à propos de certaines manifestations d’humeur visant à contester l’abrogation du décret annulant les derniers découpages décidés sous l’ère Wade, il a répondu : ‘’A ma connaissance, il n’y a qu’une seule localité où il a été fait état de manifestations contre le découpage’’.
‘’(…). Naturellement, aucune mesure ne peut faire l’unanimité, mais quand on regarde l’ensemble des localités concernées par ces découpages, si c’est une seule localité où il y a eu quelques manifestations, je pense que dans l’ensemble on peut dire que c’est mesure acceptable’’, a-t-il estimé.
‘’Mais, comme on dit, l’unanimité n’appartient qu’à Allah. L’unanimité n’existe nulle part. Partout, il faut des avis contradictoires, ce qui est l’expression de la démocratie. Chaque mesure administrative va nécessairement entraîner des contestations. Donc je pense que dans l’ensemble, si cela s’arrête aux manifestations de Bambilor, on peut dire que c’est une mesure qui est acceptée par les populations concernées.’’
Au sujet de la licence de téléphonie dont la cession a été annulée, Abou Lô a dit que ce qu’il faut retenir, ‘’c’est qu’il y a eu un décret présidentiel abrogeant cette licence d’exploitation. Pour le moment on s’en tient là’’.
‘’Le moment opportun, a-t-il poursuivi, on va donner des détails : comment cette licence a été octroyée, quel a été le contenu du contrat, qu’est-ce qui se trouve vraiment dans le contrat, est-ce qu’une licence d’exploitation en tant que tel, etc. tout cela nous allons y revenir’’.
‘’Nous voulons donner des détails techniques qui sont irréfutables, qu’on peut consulter. On ne veut pas parler de choses qui prêteraient à spéculation’’, a-t-l expliqué.
Le Premier ministre Abdoul Mbaye a récemment annoncé que le gouvernement a décidé d’une baisse des prix de certaines denrées de première nécessité comme le riz, l’huile et le sucre, moins d’un mois après l’avènement de Macky Sall à la magistrature suprême.
‘’Le prix de l’huile compris entre 1.100 et 1.200 francs CFA est fixé à 960. Le sucre blanc cristallisé qui coûtait 690 francs le kilo est ramené à 580. Le riz ordinaire qui était à 325 francs le kilo coûte 280. Le parfumé qui était compris entre 475 et 550 francs le kilo est ramené à 450’’, a précisé lundi le Premier ministre Abdoul Mbaye.
L’Union nationale des commerçants et industriels du Sénégal (UNACOIS/JAPPO) et le gouvernement ont signé lundi un accord pour "veiller ensemble à l’application effective et efficace" des nouveaux prix des denrées de première nécessité fixés par arrêté gouvernemental.
Commentant ces mesures, le ministre de la Communication, a déclaré à l’APS qu’‘’il y a une philosophie qui sous-tend cela, c’est une philosophie de transparence selon laquelle tout ce que le gouvernement fait, doit être communiqué aux Sénégalais. Ce que le gouvernement ne peut faire aussi, il le communiquera aux Sénégalais, pour qu’il y ait une transparence la plus absolue’’.
La réduction des prix des denrées de première nécessité constituait une promesse électorale du président Macky Sall, comme la mesure concernant l’abrogation des derniers découpages administratifs décidés par le régime sortant.
De même, Abou Lô a aussi évoqué, entre autres mesures, les procédures visant à récupérer les voitures disparus du parc automobile de la présidence de la République, le décret abrogeant la 4e licence de téléphonie cédée à un opérateur privé sénégalais.
‘’De manière générale, ce gouvernement est un gouvernement de mission et d’action. Nous voulons travailler. Nous voulons être près des Sénégalais. Nous voulons alléger les charges des Sénégalais. Nous sommes 13 millions de Sénégalais et la majeure partie de ces 13 millions vit dans la campagne et les banlieues. Donc, essayer de satisfaire les besoins de ces populations, c’est ce qui nous anime’’, a-t-il dit.
Il s’agit, selon le ministre de la Communication et des Télécommunications de ‘’répondre à la demande sociale, à savoir alléger les charges des ménages, du monde paysan en leur octroyant des semences, des engrais et tout ce qui fait une bonne campagne agricole’’.
Il rappelé que ‘’bien avant son élection’’, le président Macky Sall avait ‘’mis l’accent sur le monde rural. (…) Il a déjà dit dès le départ que sa priorité c’est le monde paysan, la grande masse des Sénégalais qui ne bénéficient pas de certains privilèges. C’est une philosophie globale suivant laquelle on entend servir la grande majorité des Sénégalais’’.
Interrogé à propos de certaines manifestations d’humeur visant à contester l’abrogation du décret annulant les derniers découpages décidés sous l’ère Wade, il a répondu : ‘’A ma connaissance, il n’y a qu’une seule localité où il a été fait état de manifestations contre le découpage’’.
‘’(…). Naturellement, aucune mesure ne peut faire l’unanimité, mais quand on regarde l’ensemble des localités concernées par ces découpages, si c’est une seule localité où il y a eu quelques manifestations, je pense que dans l’ensemble on peut dire que c’est mesure acceptable’’, a-t-il estimé.
‘’Mais, comme on dit, l’unanimité n’appartient qu’à Allah. L’unanimité n’existe nulle part. Partout, il faut des avis contradictoires, ce qui est l’expression de la démocratie. Chaque mesure administrative va nécessairement entraîner des contestations. Donc je pense que dans l’ensemble, si cela s’arrête aux manifestations de Bambilor, on peut dire que c’est une mesure qui est acceptée par les populations concernées.’’
Au sujet de la licence de téléphonie dont la cession a été annulée, Abou Lô a dit que ce qu’il faut retenir, ‘’c’est qu’il y a eu un décret présidentiel abrogeant cette licence d’exploitation. Pour le moment on s’en tient là’’.
‘’Le moment opportun, a-t-il poursuivi, on va donner des détails : comment cette licence a été octroyée, quel a été le contenu du contrat, qu’est-ce qui se trouve vraiment dans le contrat, est-ce qu’une licence d’exploitation en tant que tel, etc. tout cela nous allons y revenir’’.
‘’Nous voulons donner des détails techniques qui sont irréfutables, qu’on peut consulter. On ne veut pas parler de choses qui prêteraient à spéculation’’, a-t-l expliqué.
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