Lors du conseil interministériel sur les infrastructures maritimes et portuaires, tenu hier, le premier ministre et les membres de son gouvernement ont étudié les défis et enjeux, fait le diagnostic, décliné les pistes d’investissements et la mise en œuvre de la feuille de route.
D’après Ousmane Sonko, le Port autonome de Dakar a perdu de sa performance. Est-ce lié à un défaut ou une faiblesse d’investissement, des phénomènes naturels, comme des tyrans d’eau dont on nous parle, est-ce lié à la gestion…? Se demande le chef du gouvernement. « J’avais demandé qu’on me fasse une évaluation sur Bargny - Sendou. Sur la dernière partie Observations et remarques, on me dit que les engagements souscrits par l’État sont carrément détaillés avec précision. Mais en ce qui concerne les engagements de SMP, ils ne sont pas précisés », a rappelé le premier ministre dans son discours devant les membres du gouvernement dont le ministre, principal concerné, celui de la pêche et de l’économie maritime. Cela veut juste dire qu’on ne connaît pas l’étendue des travaux. Or, rappelle-t-il, un État ne peut signer de tels contrats.
Même chose pour le port de Ndayane. Le modèle est à revoir selon le Premier ministre. « J’ai installé hier le comité pour la relecture des contrats et conventions dans les secteurs stratégiques. L’objectif est de voir les indices d’intérêts du Sénégal. Que le partenariat soit national ou étranger, nous attendons beaucoup de rigueur dans la gestion des projets et surtout en matière de transparence », s’est-il exprimé devant le conseil interministériel.
D’après Ousmane Sonko, le Port autonome de Dakar a perdu de sa performance. Est-ce lié à un défaut ou une faiblesse d’investissement, des phénomènes naturels, comme des tyrans d’eau dont on nous parle, est-ce lié à la gestion…? Se demande le chef du gouvernement. « J’avais demandé qu’on me fasse une évaluation sur Bargny - Sendou. Sur la dernière partie Observations et remarques, on me dit que les engagements souscrits par l’État sont carrément détaillés avec précision. Mais en ce qui concerne les engagements de SMP, ils ne sont pas précisés », a rappelé le premier ministre dans son discours devant les membres du gouvernement dont le ministre, principal concerné, celui de la pêche et de l’économie maritime. Cela veut juste dire qu’on ne connaît pas l’étendue des travaux. Or, rappelle-t-il, un État ne peut signer de tels contrats.
Même chose pour le port de Ndayane. Le modèle est à revoir selon le Premier ministre. « J’ai installé hier le comité pour la relecture des contrats et conventions dans les secteurs stratégiques. L’objectif est de voir les indices d’intérêts du Sénégal. Que le partenariat soit national ou étranger, nous attendons beaucoup de rigueur dans la gestion des projets et surtout en matière de transparence », s’est-il exprimé devant le conseil interministériel.
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