La Coordination nationale des établissements privés de la formation professionnelle a tenu son assemblée générale ce jeudi pour renouveler ses instances. Mais également faire le plaidoyer auprès de l’autorité départementale afin de disposer d’un cadre juridique adapté aux réalités du secteur de la formation professionnelle.
« Lors de l’apparition de la Covid-19, nous nous sommes regroupés pour maintenir notre outil qui est l’école de formation professionnelle. Nous avons fait la mutation d’une école à une société coopérative pour créer des richesses qui seront au profit de ses membres. Nous avons décidé de faire partie des sentinelles de la formation professionnelle pour la formalisation plus large des établissements privés pour bénéficier de l’accompagnement de l’Etat du Sénégal » a déclaré Boubacar Diedhiou, président de la coordination des établissements privés de formation professionnelle. Ce dernier estime que les écoles de formation professionnelles privées créer depuis 2020 ne parviennent plus à se retrouver autour d’une seule entité pour faire partie de ces écoles qui font leurs examens régulièrement. « Il y a des écoles qui n’ont toujours pas d'agréments ni de récépissés. Aux nouvelles autorités, nous appelons à une prise en compte de nos préoccupations par la tutelle que nous invitons à réduire les procédures d’obtention des papiers de reconnaissance de ces écoles de formations professionnelles qui durent.
« Lors de l’apparition de la Covid-19, nous nous sommes regroupés pour maintenir notre outil qui est l’école de formation professionnelle. Nous avons fait la mutation d’une école à une société coopérative pour créer des richesses qui seront au profit de ses membres. Nous avons décidé de faire partie des sentinelles de la formation professionnelle pour la formalisation plus large des établissements privés pour bénéficier de l’accompagnement de l’Etat du Sénégal » a déclaré Boubacar Diedhiou, président de la coordination des établissements privés de formation professionnelle. Ce dernier estime que les écoles de formation professionnelles privées créer depuis 2020 ne parviennent plus à se retrouver autour d’une seule entité pour faire partie de ces écoles qui font leurs examens régulièrement. « Il y a des écoles qui n’ont toujours pas d'agréments ni de récépissés. Aux nouvelles autorités, nous appelons à une prise en compte de nos préoccupations par la tutelle que nous invitons à réduire les procédures d’obtention des papiers de reconnaissance de ces écoles de formations professionnelles qui durent.
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