Le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, dirigé par Jean Baptiste Tine, a officiellement mis fin, début avril, à l’engagement de la première cohorte de Policiers Adjoints Volontaires (PAV) de la septième génération, composée de 312 agents. Cette décision suscite de nombreuses réactions au sein de l’opinion et dans les rangs des intéressés.
En cause, le sort d’une soixantaine d’agents PAV qui avaient réussi le concours d’accès à la Police nationale session 2023, mais qui attendent toujours leur intégration à la direction de la formation. Ces agents espéraient, au terme de leur engagement volontaire, pouvoir rejoindre définitivement les effectifs de la police nationale.
Selon les documents administratifs consultés par Dakaractu, notamment une note datée du 17 octobre 2022 adressée au directeur du Groupement Mobile d’Intervention (GMI), il était précisé que les PAV pouvaient se présenter au concours, conformément au communiqué du 4 octobre 2022 et à une note complémentaire du 11 octobre 2022.
Selon un extrait de cette note : « Je vous demande d'informer les PAV, désireux de participer au concours professionnel d'accès au corps des agents de police session 2023, qu'ils doivent déposer, par voie hiérarchique, un dossier comprenant : une copie certifiée conforme de la CNI, une demande manuscrite adressée au Ministre de l'Intérieur sous couvert de la voie hiérarchique, et une copie conforme du diplôme le plus élevé obtenu. »
Cette directive avait été transmise à l’époque à l’attention de Seydou Bocar Yague, alors Directeur général de la Police nationale.
Malgré leur réussite au concours, les 60 agents admis, dont plusieurs sont titulaires d’un master, d’une licence, ou encore d’un baccalauréat, et certains anciens militaires disposant de niveaux BFEM ou CFEE, n’ont toujours pas été intégrés. Cette situation soulève des interrogations sur la gestion administrative de ces dossiers et sur le respect des engagements pris dans le cadre du décret du 20 septembre 2021, signé par l’ancien président Macky Sall.
Ce décret stipulait, dans son chapitre III relatif aux droits et obligations des PAV, que : « Les Policiers Adjoints Volontaires, anciens auxiliaires de police, ayant accompli deux (2) ans dans leur corps d'origine, peuvent faire le concours professionnel des agents de police, sous réserve de l’autorisation écrite de l’autorité d’emploi. »
Alors que la fin de contrat des 312 PAV est désormais effective, la situation des 60 agents en attente reste floue, posant ainsi de nouveaux défis à la nouvelle administration.
En cause, le sort d’une soixantaine d’agents PAV qui avaient réussi le concours d’accès à la Police nationale session 2023, mais qui attendent toujours leur intégration à la direction de la formation. Ces agents espéraient, au terme de leur engagement volontaire, pouvoir rejoindre définitivement les effectifs de la police nationale.
Selon les documents administratifs consultés par Dakaractu, notamment une note datée du 17 octobre 2022 adressée au directeur du Groupement Mobile d’Intervention (GMI), il était précisé que les PAV pouvaient se présenter au concours, conformément au communiqué du 4 octobre 2022 et à une note complémentaire du 11 octobre 2022.
Selon un extrait de cette note : « Je vous demande d'informer les PAV, désireux de participer au concours professionnel d'accès au corps des agents de police session 2023, qu'ils doivent déposer, par voie hiérarchique, un dossier comprenant : une copie certifiée conforme de la CNI, une demande manuscrite adressée au Ministre de l'Intérieur sous couvert de la voie hiérarchique, et une copie conforme du diplôme le plus élevé obtenu. »
Cette directive avait été transmise à l’époque à l’attention de Seydou Bocar Yague, alors Directeur général de la Police nationale.
Malgré leur réussite au concours, les 60 agents admis, dont plusieurs sont titulaires d’un master, d’une licence, ou encore d’un baccalauréat, et certains anciens militaires disposant de niveaux BFEM ou CFEE, n’ont toujours pas été intégrés. Cette situation soulève des interrogations sur la gestion administrative de ces dossiers et sur le respect des engagements pris dans le cadre du décret du 20 septembre 2021, signé par l’ancien président Macky Sall.
Ce décret stipulait, dans son chapitre III relatif aux droits et obligations des PAV, que : « Les Policiers Adjoints Volontaires, anciens auxiliaires de police, ayant accompli deux (2) ans dans leur corps d'origine, peuvent faire le concours professionnel des agents de police, sous réserve de l’autorisation écrite de l’autorité d’emploi. »
Alors que la fin de contrat des 312 PAV est désormais effective, la situation des 60 agents en attente reste floue, posant ainsi de nouveaux défis à la nouvelle administration.
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