Le réseau des usagers du service public (RUSP) se sent marginalisé dans la gestion des affaires publiques par les nouvelles autorités. Son secrétaire exécutif, Fallou Fall dans un communiqué rendu public, dénonce la non implication du mouvement consumériste dans les assises de justice, la gestion et la mise en place des moyens modernes de transport, … « Le mouvement consumériste dans son ensemble est inquiet de l’indifférence portée par les nouvelles autorités à son endroit, les preuves sont là et ne peuvent être ignorées » fait-il savoir d’emblée.
Toutefois, il interpelle le président et son PM « pour que cesse ce qui ressemble à une tentative de mise à mort du mouvement consumériste, et que cette composante importante de notre nation soit associée conformément aux principes directeurs des Nations-Unies pour la protection du consommateur » lit-on dans le communiqué.
« Depuis la première rencontre avec le cabinet du premier ministre, aucune association de consommateurs n’a été associée aux concertations contre la vie chère en cours, De même, pour les assises nationales de la justice pas l'ombre d’une association de consommateurs pour représenter les usagers de la justice » se désole le secrétaire exécutif.
Et poursuivant son propos, il regrette aussi, « peut-on parler de mobilité urbaine et de transport collectif sans les représentants des usagers dans aucun des projets de transport terrestres au Sénégal, ni dans le TER, ni dans le ferroviaire et dans la mobilité urbaine telle que Dakar Dem Dikk. Les usagers sont aussi absents du processus de restructuration globale du réseau des transports en commun dont la première phase est lancée officiellement le 30 mai avec les bailleurs de fonds que sont l’UE, la KFW (la Banque Allemande de Développement), la BEI et l’AFD, pour un coût global de 650 milliards que le contribuable usager sénégalais devra payer » conclut-il.
Toutefois, il interpelle le président et son PM « pour que cesse ce qui ressemble à une tentative de mise à mort du mouvement consumériste, et que cette composante importante de notre nation soit associée conformément aux principes directeurs des Nations-Unies pour la protection du consommateur » lit-on dans le communiqué.
« Depuis la première rencontre avec le cabinet du premier ministre, aucune association de consommateurs n’a été associée aux concertations contre la vie chère en cours, De même, pour les assises nationales de la justice pas l'ombre d’une association de consommateurs pour représenter les usagers de la justice » se désole le secrétaire exécutif.
Et poursuivant son propos, il regrette aussi, « peut-on parler de mobilité urbaine et de transport collectif sans les représentants des usagers dans aucun des projets de transport terrestres au Sénégal, ni dans le TER, ni dans le ferroviaire et dans la mobilité urbaine telle que Dakar Dem Dikk. Les usagers sont aussi absents du processus de restructuration globale du réseau des transports en commun dont la première phase est lancée officiellement le 30 mai avec les bailleurs de fonds que sont l’UE, la KFW (la Banque Allemande de Développement), la BEI et l’AFD, pour un coût global de 650 milliards que le contribuable usager sénégalais devra payer » conclut-il.
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