Le quartier Keur Gou Mak, à Diourbel, a été le théâtre d’une scène tragique et choquante, rapportée par L’AS. Mardi soir, Aldiouma Faye, 73 ans, a vu son bras fracturé par son propre fils aîné, Asse Talla Faye, dans une altercation pour une pièce de 500 francs CFA. Une violence insoutenable alimentée par une addiction destructrice à la drogue.
Une nuit qui vire au drame
Selon les faits relatés par L’AS, tout a commencé après la prière du crépuscule. Le vieux Aldiouma, assoupi sur un lit de fortune dans sa cour, s’est brusquement réveillé en sentant qu’on fouillait ses poches. En sursaut, il a surpris son fils, Asse Talla Faye, tentant de lui arracher sa dernière pièce de 500 francs.
Le vieil homme, déterminé à protéger son argent destiné à l’achat de cola et de gingembre, s’est opposé à son fils. Mais la résistance paternelle a poussé Asse Talla à la violence. D’un geste brutal, il lui a fracturé le bras gauche avant de prendre la fuite avec la maudite pièce.
Un père blessé, un fils en fuite
Les cris de douleur d’Aldiouma ont alerté les autres membres de la famille, qui ont accouru pour le secourir. Faute de moyens de transport, ils ont improvisé avec une charrette pour conduire le vieillard jusqu’à une route goudronnée. De là, un taxi l’a conduit aux urgences de l’hôpital régional Heinrich Lubke, où il a été pris en charge aux environs de 22 heures.
Pendant ce temps, Asse Talla Faye, délinquant multirécidiviste bien connu des forces de l’ordre pour usage et détention de drogue, avait déjà disparu. Selon L’AS, il a utilisé son butin pour s’acheter une nouvelle dose, poursuivant une spirale d’autodestruction qui détruit aussi son entourage.
Une chasse à l’homme en cours
Les autorités de Diourbel, informées de l’incident, ont lancé une recherche active pour mettre la main sur Asse Talla. Ce dernier, malgré ses multiples séjours en prison, continue de multiplier les délits, incarnant un cas désespéré de l’impact ravageur des addictions sur les familles et la société.
Une tragédie ordinaire mais intolérable
Ce drame met une fois de plus en lumière les ravages de la drogue dans les quartiers populaires, où des familles entières vivent sous la menace d’un proche addict. Comme le conclut L’AS, cette tragédie dépasse la simple violence familiale : elle reflète une problématique sociale urgente qui exige une action collective pour briser le cercle vicieux de la toxicomanie.
Une nuit qui vire au drame
Selon les faits relatés par L’AS, tout a commencé après la prière du crépuscule. Le vieux Aldiouma, assoupi sur un lit de fortune dans sa cour, s’est brusquement réveillé en sentant qu’on fouillait ses poches. En sursaut, il a surpris son fils, Asse Talla Faye, tentant de lui arracher sa dernière pièce de 500 francs.
Le vieil homme, déterminé à protéger son argent destiné à l’achat de cola et de gingembre, s’est opposé à son fils. Mais la résistance paternelle a poussé Asse Talla à la violence. D’un geste brutal, il lui a fracturé le bras gauche avant de prendre la fuite avec la maudite pièce.
Un père blessé, un fils en fuite
Les cris de douleur d’Aldiouma ont alerté les autres membres de la famille, qui ont accouru pour le secourir. Faute de moyens de transport, ils ont improvisé avec une charrette pour conduire le vieillard jusqu’à une route goudronnée. De là, un taxi l’a conduit aux urgences de l’hôpital régional Heinrich Lubke, où il a été pris en charge aux environs de 22 heures.
Pendant ce temps, Asse Talla Faye, délinquant multirécidiviste bien connu des forces de l’ordre pour usage et détention de drogue, avait déjà disparu. Selon L’AS, il a utilisé son butin pour s’acheter une nouvelle dose, poursuivant une spirale d’autodestruction qui détruit aussi son entourage.
Une chasse à l’homme en cours
Les autorités de Diourbel, informées de l’incident, ont lancé une recherche active pour mettre la main sur Asse Talla. Ce dernier, malgré ses multiples séjours en prison, continue de multiplier les délits, incarnant un cas désespéré de l’impact ravageur des addictions sur les familles et la société.
Une tragédie ordinaire mais intolérable
Ce drame met une fois de plus en lumière les ravages de la drogue dans les quartiers populaires, où des familles entières vivent sous la menace d’un proche addict. Comme le conclut L’AS, cette tragédie dépasse la simple violence familiale : elle reflète une problématique sociale urgente qui exige une action collective pour briser le cercle vicieux de la toxicomanie.
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