Ils l’ont échappé belle ! Eux, ce sont les membres de la délégation nigérienne qui devaient participer à la 21e édition de la Foire internationale de l’Agriculture et des ressources animales du Sénégal (FIARA) dont le lancement est prévu jeudi 27 mai.
L’incident s’est produit dans la nuit du dimanche 23 au lundi 24 mai dernier, entre 1h et 2heures du matin. Selon le chef de la délégation, Aladji Dagara et le convoyeur Abdou Aziz Amani, le braquage s’est produit à 30 ou 40 kilomètres de la ville de Kayes, en territoire malien. Donc, loin de la frontière avec le Sénégal.
Les braqueurs qui étaient au nombre de neuf, selon le témoignage de Abdoul Aziz Amani, recueilli par Dakaractu au Cices où la délégation est arrivée ce mercredi 26 mai à l’aube, les assaillants ont tiré sur le premier bus qui ne pouvait plus avancer, compte tenu du mauvais état de la route.
D'ailleurs, l'impact de la balle est encore visible sur le pare-bras du véhicule stationné au Cices. C'est dans ces circonstances que les malfaiteurs se sont introduits dans le bus côté chauffeur et ont demandé à ses occupants de sortir. Le choix ne leur était pas offert !
Plaqués au sol, hommes et femmes ont été dépouillés de tous leurs biens (téléphones portables, argent).
Incapable pour le moment d’évaluer en valeur marchande ce qui a été subtilisé, le chef de la délégation confie à Dakaractu que seuls les produits (parfums traditionels etc) qu’ils devaient exposer ont été épargnés par les « braqueurs » qui s’exprimaient à l’en croire dans différentes langues, dont le bambara, le peulh ou le sonrai. Ils ont la vie sauve, mais les artisans nigériens sont encore traumatisés par le braquage dont ils ont été victimes. « Actuellement, nous ne savons même pas comment rentrer », s’inquiète Aladji Dagara. Même son de cloche chez son compatriote Abdoul Aziz Amani.
L’organisateur de la Fiara, Pape Abdou Fall estime, pour sa part que l’incident « pose le problème de l’insécurité dans la sous-région ». Aussi, précise-t-il que c’est la première fois que des participants étrangers à la Fiara font l’objet d’une attaque de cette nature. L'opérateur économique espère que les dispositions nécessaires seront prises pour que « pareille situation ne se reproduise plus ».
Les artisans nigériens qui ne se sont pas encore remis de ce cauchemar implorent l'indulgence de l’organisateur pour présenter les produits que les braqueurs n’ont pas emporté.
L’incident s’est produit dans la nuit du dimanche 23 au lundi 24 mai dernier, entre 1h et 2heures du matin. Selon le chef de la délégation, Aladji Dagara et le convoyeur Abdou Aziz Amani, le braquage s’est produit à 30 ou 40 kilomètres de la ville de Kayes, en territoire malien. Donc, loin de la frontière avec le Sénégal.
Les braqueurs qui étaient au nombre de neuf, selon le témoignage de Abdoul Aziz Amani, recueilli par Dakaractu au Cices où la délégation est arrivée ce mercredi 26 mai à l’aube, les assaillants ont tiré sur le premier bus qui ne pouvait plus avancer, compte tenu du mauvais état de la route.
D'ailleurs, l'impact de la balle est encore visible sur le pare-bras du véhicule stationné au Cices. C'est dans ces circonstances que les malfaiteurs se sont introduits dans le bus côté chauffeur et ont demandé à ses occupants de sortir. Le choix ne leur était pas offert !
Plaqués au sol, hommes et femmes ont été dépouillés de tous leurs biens (téléphones portables, argent).
Incapable pour le moment d’évaluer en valeur marchande ce qui a été subtilisé, le chef de la délégation confie à Dakaractu que seuls les produits (parfums traditionels etc) qu’ils devaient exposer ont été épargnés par les « braqueurs » qui s’exprimaient à l’en croire dans différentes langues, dont le bambara, le peulh ou le sonrai. Ils ont la vie sauve, mais les artisans nigériens sont encore traumatisés par le braquage dont ils ont été victimes. « Actuellement, nous ne savons même pas comment rentrer », s’inquiète Aladji Dagara. Même son de cloche chez son compatriote Abdoul Aziz Amani.
L’organisateur de la Fiara, Pape Abdou Fall estime, pour sa part que l’incident « pose le problème de l’insécurité dans la sous-région ». Aussi, précise-t-il que c’est la première fois que des participants étrangers à la Fiara font l’objet d’une attaque de cette nature. L'opérateur économique espère que les dispositions nécessaires seront prises pour que « pareille situation ne se reproduise plus ».
Les artisans nigériens qui ne se sont pas encore remis de ce cauchemar implorent l'indulgence de l’organisateur pour présenter les produits que les braqueurs n’ont pas emporté.
Autres articles
-
Fin de campagne / Sonko lance un message fort et prend la direction de Bignona pour clôturer en beauté
-
Yoff et Ouest Foire plaident pour de meilleures conditions de vie devant le leader de Pastef, Sonko
-
Malgré une mobilisation gigantesque, Sonko lance un appel choc aux jeunes : "Récupérez vos cartes!"
-
Jeunesse, fortune, engagement politique : la face cachée d’Abdoulaye Sylla (And Bessal Sénégal)
-
Campagne électorale à Thiès / Déploiement d'une logistique "colossale" par le Pastef : Thierno Alassane Sall déplore ce tapage au moment où "les sénégalais souffrent"