Pedro Sanchez est le nouveau président du gouvernement espagnol après que Mariano Rajoy, chef du gouvernement depuis décembre 2011, a reconnu ce matin sa défaite, une heure avant l’adoption de la motion de censure socialiste par les députés.
« Pedro Sanchez est désormais le nouveau président du gouvernement espagnol, son parti ayant réussi à obtenir suffisamment de voix pour renverser le gouvernement sortant. Il a reçu le soutien de six partis totalisant 180 voix à la chambre basse du Parlement pour voter la motion de censure, soit plus que la majorité absolue des 176 voix nécessaires. Le soutien décisif est venu du Parti nationaliste basque (PNV) qui a décidé de voter la censure », ajoute « lemonde-fr ».
« Après six années au pouvoir, Mariano Rajoy était sur la sellette depuis le dépôt d’une motion de censure par le Parti socialiste (PSOE) de Pedro Sanchez. Ce dernier était monté au front contre M. Rajoy dès l’annonce jeudi 24 mai de la condamnation du Parti populaire (PP) de Rajoy dans un méga-procès pour corruption, baptisé Gürtel », précise encore notre source.
« La chute de Mariano Rajoy était encore impensable voici moins de dix jours. Mercredi 23 mai au soir, le pouce levé en signe de victoire, il avait d’ailleurs quitté le Parlement avec le sentiment d’avoir franchi le dernier obstacle d’une législature compliquée, marquée par le défi indépendantiste catalan et soumise aux difficultés de tout gouvernement minoritaire tenu de renouveler au coup par coup de fragiles soutiens. Ce jour-là, il venait, avec six mois de retard, de faire voter le projet de loi budgétaire 2018 par le parti libéral Ciudadanos et le parti basque, le PNV.
Afin de convaincre le parti basque, M. Sanchez a d’ailleurs dû assurer qu’il ne toucherait pas à ce budget qui prévoit des largesses financières pour le Pays basque. Il a en outre promis aux indépendantistes catalans qu’il essaierait de « jeter des ponts pour dialoguer » avec le gouvernement régional de Quim Torra », relève le journal ; non sans souligner la probabilité d’élections anticipées.
« Pedro Sanchez est désormais le nouveau président du gouvernement espagnol, son parti ayant réussi à obtenir suffisamment de voix pour renverser le gouvernement sortant. Il a reçu le soutien de six partis totalisant 180 voix à la chambre basse du Parlement pour voter la motion de censure, soit plus que la majorité absolue des 176 voix nécessaires. Le soutien décisif est venu du Parti nationaliste basque (PNV) qui a décidé de voter la censure », ajoute « lemonde-fr ».
« Après six années au pouvoir, Mariano Rajoy était sur la sellette depuis le dépôt d’une motion de censure par le Parti socialiste (PSOE) de Pedro Sanchez. Ce dernier était monté au front contre M. Rajoy dès l’annonce jeudi 24 mai de la condamnation du Parti populaire (PP) de Rajoy dans un méga-procès pour corruption, baptisé Gürtel », précise encore notre source.
« La chute de Mariano Rajoy était encore impensable voici moins de dix jours. Mercredi 23 mai au soir, le pouce levé en signe de victoire, il avait d’ailleurs quitté le Parlement avec le sentiment d’avoir franchi le dernier obstacle d’une législature compliquée, marquée par le défi indépendantiste catalan et soumise aux difficultés de tout gouvernement minoritaire tenu de renouveler au coup par coup de fragiles soutiens. Ce jour-là, il venait, avec six mois de retard, de faire voter le projet de loi budgétaire 2018 par le parti libéral Ciudadanos et le parti basque, le PNV.
Afin de convaincre le parti basque, M. Sanchez a d’ailleurs dû assurer qu’il ne toucherait pas à ce budget qui prévoit des largesses financières pour le Pays basque. Il a en outre promis aux indépendantistes catalans qu’il essaierait de « jeter des ponts pour dialoguer » avec le gouvernement régional de Quim Torra », relève le journal ; non sans souligner la probabilité d’élections anticipées.
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