Écrire l’histoire de la fayda tidianiya. Voici le grand projet initié par Médina Baye et son actuel Khalife Cheikh Mahi Niasse qui a confié cette mission de grande envergure à Cheikh Ahmad Boucar Niang. Ce petit-fils d’El Hadji Ibrahima Niass qui a déjà démontré son talent d’écrivain aguerri, aura la charge de mener les travaux à leur terme.
Au micro de Dakaractu qui l’a interviewé, il a décliné les contours de ce projet qu’il déroulera en compagnie d’au moins 50 autres personnes divisées en groupes de travail. L’histoire sera rédigée en trois langues mais des fidèles niassène issues d’autres cultures manifestent leur souhait d’avoir une version dans leur langue. Un début prometteur pour ce gigantesque projet qui reviendra de manière exhaustive aussi bien sur les parcours d’El Hadji Abdoulaye Niass, ses écrits que sur celui de son illustre fils, Cheikhal Islam Ibrahima Niass.
Dans la collecte, Cheikh Ahmad Boucar affirme être déjà tombé sur une mine d’informations concernant la manière dont les colons surveillaient les faits et gestes des deux saints hommes. Il rapporte avoir trouvé dans les archives françaises des notes sur tous les livres que commandaient Cheikh Abdoulaye Niass ainsi que Cheikhal Islam et la peur qu’ils avaient developpé vis à vis de ces deux figures de l’islam soufi au Sénégal. Dans cette grande œuvre, les relations amicales entre Mame Abdoualye Niass et les autres chefs religieux de son temps seront aussi abordés. Il en sera de même avec Cheikhal Islam et ses contemporains.
Au micro de Dakaractu qui l’a interviewé, il a décliné les contours de ce projet qu’il déroulera en compagnie d’au moins 50 autres personnes divisées en groupes de travail. L’histoire sera rédigée en trois langues mais des fidèles niassène issues d’autres cultures manifestent leur souhait d’avoir une version dans leur langue. Un début prometteur pour ce gigantesque projet qui reviendra de manière exhaustive aussi bien sur les parcours d’El Hadji Abdoulaye Niass, ses écrits que sur celui de son illustre fils, Cheikhal Islam Ibrahima Niass.
Dans la collecte, Cheikh Ahmad Boucar affirme être déjà tombé sur une mine d’informations concernant la manière dont les colons surveillaient les faits et gestes des deux saints hommes. Il rapporte avoir trouvé dans les archives françaises des notes sur tous les livres que commandaient Cheikh Abdoulaye Niass ainsi que Cheikhal Islam et la peur qu’ils avaient developpé vis à vis de ces deux figures de l’islam soufi au Sénégal. Dans cette grande œuvre, les relations amicales entre Mame Abdoualye Niass et les autres chefs religieux de son temps seront aussi abordés. Il en sera de même avec Cheikhal Islam et ses contemporains.
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