Le Fonds de Garantie des Investissements prioritaires a répondu, cette année encore, présent à la Foire internationale de Dakar. Doudou Kâ, son directeur général dit concevoir la Fidak comme « un passage obligé » du fonds au vu de son besoin de communication. Ainsi se réjouit-il du taux important de fréquentation. « Le stand a pu recevoir plus de 500 visiteurs de différentes catégories socioprofessionnelles, des acteurs économiques qui ont pu obtenir des informations sur le Fongip. Je rappelle que le Fongip est un structure publique qui a vocation à garantir le développement des petites et moyennes entreprises, à garantir le développement de nos acteurs économiques locaux. Nous n’avons que deux ans d’activités. Cette demande qui était la raison de la création du Fongip par le Président Macky Sall nous conduit à être présent partout pour donner la bonne information, pour échanger avec les acteurs. C’est une démarche continue d’échanges avec les bénéficiaires.»
Doudou Kâ de déplorer que les PME ne soient intéressées que par 10% des crédits bancaires alors qu’elles représentent 85% des secteurs d’activités économiques. « Il fallait régler cette question » tonne-t-il avant de préciser, à l’intention de la presse, que le Président Macky Sall n’a jamais dit qu’il allait résorber le gap de financement de 500 milliards noté pour ce qui concerne ces PME. « Le Président n’a jamais dit qu’il allait financer 500 milliards. C’est l’étude de 2011 qui a révélé qu’il y avait un gap de financement pour les petites et moyennes entreprises de 500 milliards. Le Président a trouvé des instruments innovants pour résorber ce gap avec le Fonsis, le Fongip et la Bnde.
Le Directeur Général confie qu’il s’agira pour ses services de travailler à la résorption de ce gap de moitié d’ici 2018. « Nous sommes dans la bonne tendance. Nous allons lancer en 2017 le processus de mutation institutionnel du Fongip qui va devenir une institution sous-régionale avec un agrément de la BCEAO qui permettra de quintupler l’intervention du Fongip. Si on peut aujourd’hui, 30 milliards, ce sera 300 milliards ensuite» a-t-il conclu, à ce propos...
Doudou Kâ de déplorer que les PME ne soient intéressées que par 10% des crédits bancaires alors qu’elles représentent 85% des secteurs d’activités économiques. « Il fallait régler cette question » tonne-t-il avant de préciser, à l’intention de la presse, que le Président Macky Sall n’a jamais dit qu’il allait résorber le gap de financement de 500 milliards noté pour ce qui concerne ces PME. « Le Président n’a jamais dit qu’il allait financer 500 milliards. C’est l’étude de 2011 qui a révélé qu’il y avait un gap de financement pour les petites et moyennes entreprises de 500 milliards. Le Président a trouvé des instruments innovants pour résorber ce gap avec le Fonsis, le Fongip et la Bnde.
Le Directeur Général confie qu’il s’agira pour ses services de travailler à la résorption de ce gap de moitié d’ici 2018. « Nous sommes dans la bonne tendance. Nous allons lancer en 2017 le processus de mutation institutionnel du Fongip qui va devenir une institution sous-régionale avec un agrément de la BCEAO qui permettra de quintupler l’intervention du Fongip. Si on peut aujourd’hui, 30 milliards, ce sera 300 milliards ensuite» a-t-il conclu, à ce propos...
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