Yaya Jammeh, a présenté ses voeux de nouvel an au peuple Gambien. Lors de son discours à la nation, le président Gambien est revenu sur sa décision de garder le pouvoir après les élections car pour lui, il y a eu de la triche.
Jammeh a réitéré son rejet des résultats de l'élection et dit attendre la décision de la Cour suprême après le dépôt de son recours. Il a aussi demandé à ce qu'une nouvelle élection soit organisée pour permettre aux Gambiens de choisir librement leur futur président. Pour Jammeh, dans la mesure où il ne peut se permettre de tricher, il n’acceptera jamais que quelqu'un d'autre vienne le faire.
S'agissant de la position de la CEDEAO sur la situation en Gambie, Yaya Jammeh de dire que la décision de la Communauté de mettre en œuvre les résultats des élections par tous les moyens possibles est totalement illégale car elle viole les principes de non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats membres de l’institution.
Yaya Jammeh a fustigé la position "partisane" de la CEDEAO avant de la disqualifier pour « fournir des services de médiation comme le véritable médiateur doit être neutre et impartial pour gagner la confiance des parties en conflit ».
Le président battu par Adama Barrow a précisé qu’il n’entrera « pas dans les négociations imitées par la CEDEAO si elle ne reconnaît pas que les dispositions de la constitution gambienne dispose des principes juridiques fondamentaux » pour résoudre de manière pacifique et légale le contentieux entre les parties.
Sur une possible option militaire pour résoudre la problématique en Gambie, Yaya Jammeh se veut clair : « Notre souveraineté ne sera pas compromise. Je tiens à préciser que nous sommes prêts à défendre ce pays contre toute agression et qu'il n'y aura pas de compromis à cet égard. Mon gouvernement Inshallah n'acceptera jamais cette confrontation à moins que nous ne soyons obligés de défendre notre souveraineté, notre indépendance et notre dignité ».
Pour une issue calme, Yaya Jammeh exige une nouvelle élection libre et transparente pour que les Gambiens puissent voter clairement afin de choisir leur futur président.
Jammeh a réitéré son rejet des résultats de l'élection et dit attendre la décision de la Cour suprême après le dépôt de son recours. Il a aussi demandé à ce qu'une nouvelle élection soit organisée pour permettre aux Gambiens de choisir librement leur futur président. Pour Jammeh, dans la mesure où il ne peut se permettre de tricher, il n’acceptera jamais que quelqu'un d'autre vienne le faire.
S'agissant de la position de la CEDEAO sur la situation en Gambie, Yaya Jammeh de dire que la décision de la Communauté de mettre en œuvre les résultats des élections par tous les moyens possibles est totalement illégale car elle viole les principes de non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats membres de l’institution.
Yaya Jammeh a fustigé la position "partisane" de la CEDEAO avant de la disqualifier pour « fournir des services de médiation comme le véritable médiateur doit être neutre et impartial pour gagner la confiance des parties en conflit ».
Le président battu par Adama Barrow a précisé qu’il n’entrera « pas dans les négociations imitées par la CEDEAO si elle ne reconnaît pas que les dispositions de la constitution gambienne dispose des principes juridiques fondamentaux » pour résoudre de manière pacifique et légale le contentieux entre les parties.
Sur une possible option militaire pour résoudre la problématique en Gambie, Yaya Jammeh se veut clair : « Notre souveraineté ne sera pas compromise. Je tiens à préciser que nous sommes prêts à défendre ce pays contre toute agression et qu'il n'y aura pas de compromis à cet égard. Mon gouvernement Inshallah n'acceptera jamais cette confrontation à moins que nous ne soyons obligés de défendre notre souveraineté, notre indépendance et notre dignité ».
Pour une issue calme, Yaya Jammeh exige une nouvelle élection libre et transparente pour que les Gambiens puissent voter clairement afin de choisir leur futur président.
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