Selon les témoignages de Monsieur Amadou Ciré Ba, le Principal de l’établissement, une dizaine de filles, onze plus exactement, ont piqué la crise que la folle rumeur publique avait imputée en 2008 au passage de « Djiné Maïmouna », et qui se manifeste par des convulsions, de fortes agitations et des délires chez les victimes.
La curiosité, selon le même responsable de l’établissement toutes les victimes sont des filles dont la moyenne tourne autour de 13 et 17 ans. Elles sont également toutes originaires de MBolo Ali, soit à un kilomètre de Mbolo et fréquentent les classes de 6éme, 5éme, 4éme et en 3éme de l’Enseignement Moyen Général. Mais, selon le même responsable de l’établissement, les élèves des classes de 6éme ont été les plus nombreuses à avoir piqué la crise. A l’en croire, le phénomène s’est produit dans son établissement aux environs de 10h30 quand la chaleur était beaucoup moins forte.
D’ailleurs, indique toujours la même source, le temps était beaucoup plus clément hier mardi dans la localité que les autres jours puisque il faisait entre 30 et 35° alors que le thermomètre peut parfois frôler 41 à 45° à l’ombre.
C’est pourquoi, selon lui, « il était difficile de lier le phénomène à la forte chaleur au Fouta en cette période de saison sèche ».
Très surpris donc par le phénomène qui était jusque-là méconnu dans la localité, M Amadou Ciré Ba n’a eu d’autre forme de conduite à tenir, à l’en croire, que de garder son sang froid. « Dès qu’il m’a été signalé des cas dans quelques salles classes j’ai tout de suite pris la décision de libérer tous les élèves avant qu’il n’y ait des débordements ». Et d’ajouter « j’ai aussitôt saisi la tutelle, c’est-à-dire l’Inspection départementale de Podor où il m’a été servi l’information selon laquelle des cas similaires se sont produits ces jours derniers dans d’autres localités de Podor ».
C’est le cas notamment au CEM de Tarédji, un village situé à quelques encablures de Podor, selon des sources proches du personnel enseignant de l’établissement. Mais selon ces dernières, elles n’ont trouvé d’autres explications à ce phénomène que la forte chaleur qui sévit dans la zone. D’autant plus, avancent-elles, « nous avons l’habitude d’enregistrer des cas de filles qui tombent en syncope en cette période de chaleur.
Rappelons qu’au-delà des écoles de Dakar, le même phénomène avait été signalé à l’époque aux Etats-Unis.
La curiosité, selon le même responsable de l’établissement toutes les victimes sont des filles dont la moyenne tourne autour de 13 et 17 ans. Elles sont également toutes originaires de MBolo Ali, soit à un kilomètre de Mbolo et fréquentent les classes de 6éme, 5éme, 4éme et en 3éme de l’Enseignement Moyen Général. Mais, selon le même responsable de l’établissement, les élèves des classes de 6éme ont été les plus nombreuses à avoir piqué la crise. A l’en croire, le phénomène s’est produit dans son établissement aux environs de 10h30 quand la chaleur était beaucoup moins forte.
D’ailleurs, indique toujours la même source, le temps était beaucoup plus clément hier mardi dans la localité que les autres jours puisque il faisait entre 30 et 35° alors que le thermomètre peut parfois frôler 41 à 45° à l’ombre.
C’est pourquoi, selon lui, « il était difficile de lier le phénomène à la forte chaleur au Fouta en cette période de saison sèche ».
Très surpris donc par le phénomène qui était jusque-là méconnu dans la localité, M Amadou Ciré Ba n’a eu d’autre forme de conduite à tenir, à l’en croire, que de garder son sang froid. « Dès qu’il m’a été signalé des cas dans quelques salles classes j’ai tout de suite pris la décision de libérer tous les élèves avant qu’il n’y ait des débordements ». Et d’ajouter « j’ai aussitôt saisi la tutelle, c’est-à-dire l’Inspection départementale de Podor où il m’a été servi l’information selon laquelle des cas similaires se sont produits ces jours derniers dans d’autres localités de Podor ».
C’est le cas notamment au CEM de Tarédji, un village situé à quelques encablures de Podor, selon des sources proches du personnel enseignant de l’établissement. Mais selon ces dernières, elles n’ont trouvé d’autres explications à ce phénomène que la forte chaleur qui sévit dans la zone. D’autant plus, avancent-elles, « nous avons l’habitude d’enregistrer des cas de filles qui tombent en syncope en cette période de chaleur.
Rappelons qu’au-delà des écoles de Dakar, le même phénomène avait été signalé à l’époque aux Etats-Unis.
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