Alors que l’on n’a pas encore fini d’épiloguer sur le vent de constatation que le vote du projet de loi portant sur le parrainage a charrié au Sénégal, l’opposition malienne, qui redoute un stratagème pour écarter de potentiels rivaux, se radicalise suite à la modification du code électoral en direction de la prochaine présidentielle.
En clair, la Convention nationale pour une Afrique solidaire (CNAS-FASO HERE) du Dr Soumana Sako, ancien Premier ministre de la République du Mali, a, ce lundi, interpellé le gouvernement sur la faisabilité du parrainage dans les régions nouvellement créées et Kidal. Selon la nouvelle loi, tout candidat à la présidentielle doit se faire parrainer par 10 députés ou 5 conseillers communaux dans chaque région.
Il se trouve que dans les régions comme Kidal, Taoudéni et Ménaka où des élections n’ont pas été organisées lors des communales du 20 novembre 2016, il sera difficile d’appliquer le parrainage, en l’absence de conseillers dans ces localités ?
Dans une lettre restée sans suite adressée au gouvernement le 28 février dernier, le Cnas-Faso avertissait : « Face à cette contrainte objective s’apparentant à un cas de force majeure, nous vous remercions de bien vouloir nous édifier sur les modalités concrètes de l’application de la règle du nombre minimum de signatures de conseillers communaux requis pour tout dossier de candidature à l’élection présidentielle prévue cette année ».
En clair, la Convention nationale pour une Afrique solidaire (CNAS-FASO HERE) du Dr Soumana Sako, ancien Premier ministre de la République du Mali, a, ce lundi, interpellé le gouvernement sur la faisabilité du parrainage dans les régions nouvellement créées et Kidal. Selon la nouvelle loi, tout candidat à la présidentielle doit se faire parrainer par 10 députés ou 5 conseillers communaux dans chaque région.
Il se trouve que dans les régions comme Kidal, Taoudéni et Ménaka où des élections n’ont pas été organisées lors des communales du 20 novembre 2016, il sera difficile d’appliquer le parrainage, en l’absence de conseillers dans ces localités ?
Dans une lettre restée sans suite adressée au gouvernement le 28 février dernier, le Cnas-Faso avertissait : « Face à cette contrainte objective s’apparentant à un cas de force majeure, nous vous remercions de bien vouloir nous édifier sur les modalités concrètes de l’application de la règle du nombre minimum de signatures de conseillers communaux requis pour tout dossier de candidature à l’élection présidentielle prévue cette année ».
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