Le réchauffement climatique anthropique est devenu une « nouvelle religion » prêchée depuis plusieurs années par des médias et des lobbys qui attisent l’hystérie collective avec leurs articles et documentaires embarrassants. Pourtant, la véracité de ce phénomène dit « irréversible » suscite bien des interrogations qui méritent une attention particulière. Aussi, ai-je voulu, dans cette contribution, que les informations analytiques présentées soient moins techniques, de sorte qu’elles nécessitent un moindre effort de la part des lecteurs non-avertis. Je me vois obligé de vous prier de leur prêter une attention soutenue, d'autant plus que je suis sûr de n'avoir pas réussi à grouper toutes les données de mes recherches dans un seul papier.
La problématique de la moyenne mondiale des températures
D’abord, voyons comment le calcul des températures est fait pour aboutir à la conclusion d’un « réchauffement planétaire. » Il faut retenir qu’il n’y a qu’un seul laboratoire au monde, le Hadley Research Center (HRC), basé au Royaume Uni, qui prétend avoir collecté depuis 1950 toutes les donnéesde mesures de températures. Des milliers de stations météorologiques sont installées à travers notre planète, mais absentes surtout dans certaines grandes zones. Il est à remarquer l’absence totale de stations dans les zones les plus vastes que sont les régions désertiques et les endroits les plus froids de la planète. Par exemple, il existe très peu de stations météorologiques dans les régions situées en haute latitude. C’est le cas des zones situées au de-là du 60oS en direction du pôle Sud, ainsi que celles situées entre le 60o N et 90o N où se trouvent les vastes zones de la Sibérie du nord, du Groenland et de la partie occidentale de l’Arctique. En Afrique, les stations sont surtout très rares, voire absentes, dans les zones forestières ou désertiques et surtout dans la partie orientale nord et sud du continent. On retrouve ce même portrait en Amérique du Sud dans ses régions du centre et du Sud.
Ces endroits ne sont pas pris en compte dans la comptabilité du calcul de la « moyenne mondiale »des températures qui attestent d’un réchauffementplanétaire, donc de changements climatiques. A croire que ces lieux ne font pas partie de la Terre. De même, aucune mesure n’est effectuée dans les territoires du centre du Moyen-Orient ou même en Australie où on ne retrouve aucune station dans les deux tiers du pays. Par conséquent, l’emplacement des bornes météo ne répond pas à une répartition égalitaire mondiale. Ce qui crée en lui-même une forte déformation de la réalité et de la fiabilité scientifique des modèles climatiques. A croire qu’on voudrait nous imposer un « changement climatique de la Terre » sous contrôle.
Une autre contrainte à cette méthode de calcul de la « moyenne mondiale » des mesures de températures est le fait que de nombreuses stations soient construites dans des zones jadis désertes où existe aujourd’hui un développement urbain explosif générant un excès de chaleur pouvant créer des anomalies par rapport aux zones rurales ou reculées.
En 2002, le Professeur Judith Curry, qui est à la tête du département des sciences climatiques au sein de la prestigieuse université américaine Georgia Tech, a indiqué au journal Mail on Sunday qu'il était évident que les modèles informatiques utilisés pour prédire un réchauffement futur étaient « profondément défectueux ». Un autre climatologue, Hans Von Storch, membre du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) créé par l’ONU en 1988, a démontrérécemment que leurs modèles étaient faux à plus de 98 %, car aucun d'entre eux n'ayant pu prévoir la courbe plate des températures depuis 16 ans. Et même avec une marge de fidélité de 2 %. ».Comment peut-on créer des modèles mathématiques à 2 % de fiabilité et parler avec 95 % de certitude ? Pathétique !
Aujourd’hui, il est certain qu’aucune desdonnées satel-litaires climatiques ne montre une hausse de température depuis 1996 (courbe plate). Ce qui veut dire que les modèles datant depuis 1950 ne sont que des créations de vendeurs de fiction. En effet, même l’année 2014 n’est pas la plus chaude durant cette même période, comme ils le prévoyaient.De plus, si on regarde une image historique plus large, ces périodes chaudes modernes ne sont rien comparées à ce que la Terre a connu dans le passé.
Et la fonte de la Banquise
Contrairement à ce qu’on fait ingérer à l’opinion à propos de l’extinction des pingouins au niveau dela banquise, à cause de la montée de l’eau de l’océan antarctique, aujourd’hui, toutes les mesures révèlent des niveaux record de la glace. Informations confirmées par les relevées satellitaires de la NASA dont les photographies montrent un recouvrement glaciaire d’environ 20 million km2. Même scenario pour l’Arctique où la plaque sibérienne est entrain de se massifier pour remplacer la plaque arctiquebasculant vers les basses latitudes par un processus tectonique des plaques communément appelée Continental Drift ou Dérive des Continents. Depuisplusieurs années, des hivers très corsés avec une accumulation de glace jamais connue en Sibérie ont été notés donnant des records jamais enregistrés.
Al Gore et ses prédictions erronées
Le Pape du changement climatique par excellence, Al Gore, prédisait un océan Arctique navigable grâce à la fonte des glaciers polaires. Une déclaration reprise par un rapport de la NOAA (agence fédérale américaine qui surveille le climat et les océans), qui théorisait une fonte sans précédentedu Pôle Nord en 2012. Aujourd’hui, il est démontré par des données satellitaires (américaines, russes, japonaises et chinoises), que depuis 1979, l’Arctique est à sa superficie la plus étendue, avec une déviation normale de la moyenne, 1979 étant l’année de base. Des images satellites datant de 1964 montrent que la banquise du Nord n’a pas toujours été uniformément gelée.
Nous sommes aujourd’hui en 2015 et toutes les « prédictions » alarmantes d’Al Gore et de ses complices, que les critiques ont appelés « la secte de la fin du monde », se sont révélées archi-fausses. Récemment, les dernières données des satellites américains de la NOAA montrent qu’en Arctique, la glace a en fait augmenté de 50 % par rapport aux niveaux de 2013. Et même, en octobre 2014, les niveaux de glace se sont accrus à une vitesse telle qu’elle est considérée comme la plus rapide qu’on ait enregistré depuis les premiers relevés en 1979. Les experts prévoient même que cette hausse va se poursuivre durant au moins les dix prochaines années. Ce qui laisse les catastrophistes du réchauffement mondial et du changement climatique se débattre comme de vilains diables dans des explications pour sauver la face en essayant de ranimer une hystérie climatique qui fond à vue d’œilchaque jour. De plus, l’Arctique a déjà été plus chaud bien avant l’arrivée des Hummers.
La banquise bat présentement tous les records de superficie gelée avec une glace très épaisse . Cela pourrait expliquer les mésaventures des navires de guerres et autres sous-marins nucléaires durant leurs manœuvres.
Ce qui fait d’ailleurs que dans plusieurs pays leur conspiration est découverte. C’est le cas en Angleterre, où le Juge Burton de la Haute Cour de Londres a rendu un verdict sans appel contre le film « La vérité qui dérange » d’Al Gore, attestant qu’il contenait « 9 erreurs scientifiques » faites « dans un contexte d’alarmisme et d’exagération ». En évaluant sa superproduction hollywoodienne, plusieurs gouvernements d’Etats libres et lucides ont conclu que « la science est utilisée par un homme politique et un communicateur de talent (Al Gore) pour faire une déclaration politique et soutenir un programme politique ». Aujourd’hui, la diffusion de cette DVD est interdite dans les écoles et universités de plus d’une cinquantaine de Pays à travers le monde, qui y voient une « bouillie sentimentale » et un vrai « lavage de cerveaux » visant les enfants avec de « graves inexactitudes scientifiques. La plus belle « propagande politique » certifiée du Millenium.
Aujourd’hui, Al Gore, Administrateur Principal d’un holding financier qui gère des fonds « écolo » àLondres, fait tranquillement son blé dans les marchés et bourses des émissions de carbone. Il faut rappeler qu’il est également l’instigateur de la Théorie « Zéro Population Growth » qui prône une réduction massive de la population mondiale en explosiondevant une diminution criarde de ressources.
Un peu de sérieux …
Il a été démontré que le dioxyde de carbone (CO2) à qui on attribue l’effet de serre n’est en fait responsable qu’à 3,6% de ce phénomène et celui d’origine humaine pour seulement 0,28% du total de la teneur en CO2 de ce gaz. Une nouvelle étude, publiée par le Centre d'études du Dioxyde de Carbone et du Changement Global (Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change), aborde frontalement les plus importants effets prédits du réchauffement climatique. Faisant un ample usage de papiers de recherche revus par les pairs, les sinistres prédictions des alarmistes du climat sont démolies pièce par pièce. En définitive, les auteurs concluent que les concentrations atmosphériques croissantes du CO2 découlant du développement de la Révolution Industrielle ont, en fait, été bonnes pour la planète.
Les océans sont donc les vrais responsables de l’effet de serre car nous vivons sur une planète couverte à 75% d’eau et avec une forte évaporationen vapeur d’eau. De même, il a été également démontré par beaucoup d’études récentes de climatologues que les cyclones, les inondations, les feux de brousses et l’avancée de la mer ne deviennent pas plus forts et donc ne peuvent être directement attribués au changement climatique. Cette donne est d’ailleurs soutenue par l’Organisation Météorologique Mondiale dans son rapport de 2006 sur le « Climat ». La hausse de la température mondiale, il y a 8 à 9 000 ans lors de l’Optimum Climatique Holocène, dépasse de 2°C les températures actuelles. De même, il est admis que la baisse de la pluviométrie qui, logiquement, alimente moins les glaciers, est responsable de la disparition des neiges du Killimandjaro. Que l’avancée du Sahara est un processus cycle climatique de 7 000 années avec une alternance de fortes précipitationsdans le désert et de sécheresses. Ces cycles climatiques sont toujours en étude par les archéologues et géologues. Que la montée de la mer est due au Continental Drift (déplacement ou dérive des continents). La tectonique des plaques (continents) nous montre une émanation continue de laves magmatiques au milieu de plusieurs océans ou se forment de nouvelles montagnes au fond de la merappelés les ridges médio-océaniques (atlantique, pacifique et indien). Cette quantité énorme de nouvelles roches volcaniques qui s’ajoutent chaque seconde au fond de nos océans est l’œuvre de l’écartement des continents responsable de l’avancée de la mer, visible aux abords des côtes qui les bordent et ceci à un rythme de 0,5 à 5 cm par ansuivant les zones côtières. Que la famine dévastatrice en Somalie, au Kenya et en Éthiopie est du fait d’une usurpation des terres par des sociétés européennes en vue de cultiver des céréales pour du biocarburant en Europe. Des factions en guerre pour le contrôle du territoire y ont également joué un rôle important.Quand des gouvernements et des sociétés multinationales détruisent la terre, il est facile d’accuser le réchauffement climatique pour la destruction qu’ils ont causé.
Ce papier ne pourrait pas contenir la montagne de preuves qui réduisent en cendres toute cette imposture venant de charlatans modernes prédateurs financiers supportés par leurs journalistes véreux et opportunistes, des pseudo-scientifiques et des climatologues autoproclamés.
Conclusion
Aujourd’hui, partout dans le monde, des records de basses températures continuent de ridiculiser les penseurs du « changement climatique » eu égard aux relations avec le public. Les températures du globe n’ont pas augmenté depuis 17 ans et l’absence de réchauffement a démoli l’ensemble des 73 « modèles climatiques » dont l’ONU s’est servi (avec ses complices lobbyistes) pour mettre en avant des théories mercantiles. Il est sûr que la température augmente à certains endroits du globe mais diminue à d’autres. Donc il est difficile de parler de globalitéou d’une moyenne mondiale de températures.
La taxe carbone du « Protocole de Kyoto » de 1997 a incité certains Etats à instaurer des « droits à polluer » (ou quotas) qui ont immédiatementenfantée la Bourse du carbone (Carbon Exchange). Cette astuce, qui n’était que le paravent d’une démarche « capitaliste » beaucoup plus sournoise, a permis aux entreprises les moins pollueuses de revendre une partie de leurs quotas aux plus pollueuses. Ceci a-t-il fait régresser la pollution dans le monde? En tout cas, voilà une dérive généralisée de transactions boursières à plusieurs milliards de Dollars qui consiste à terme à financiariser d’importants fonds sous le prétexte de « préserver l’avenir », résolument payé par un public et des pays non-avertis et trompés.
La grande réunion prévue à Paris en octobre ne servira que de cadre pour perpétuer ce mensonge d’une théorie scientifiquement fausse. La France va se ridiculiser encore une fois en voulant prendre le leadership de ce délire. Beaucoup de pays avertis restent encore très prudents sur ce « changement climatique » passe-partout qui est brandit sous moult slogans : « Le climat change, le climat se réchauffe, se refroidi, devienne plus sec ou plus humide et qu’il faut lutter contre cela ». Oukase repris par ces pays « colonisés », pauvres et suivistes de concepts incompris commandités par les « Maitres » qui leurs ont promis des primes à traverser les fonds « écolos » pour les appâter. L’unique objectif est d’enrichir le petit nombre de gens qui contrôlent la totalité du système et qui s’appuient sur les peurs du futur qu’ilscontribuent à créer pour demander à chaque fois un peu plus. Tout pour perpétuer l’idée d’un catastrophisme injustifié.
Si nous continuons dans cette voie, le jour arrivera où nous devrons payer pour respirer l’air de notre propre planète.
A vous de vous faire votre propre opinion.
The choice is yours !!!
Dr ARONA COUMBA N’DOFFENE DIOUF
Diplômé Double PhD, Sciences de la Terre et de l’Environnement à l’Université d’Etat de la Ville de New York - City University of New York (CUNY – Graduate Center)
Récipiendaire de la Médaille Transatlantique Leadership Award in Science 2014 (USA)
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