L’ex-président Michel Kafando a regagné son domicile, vendredi, mais son Premier ministre Isaac Zida est toujours entre les mains des militaires au pouvoir depuis jeudi, au Burkina Faso, a-t-on appris de source officielle sénégalaise, à Ouagadougou.
M. Kafando se trouvait depuis mercredi entre les mains des auteurs du coup d’Etat. Ce vendredi, il est placé "en résidence surveillée, mais chez lui", à son domicile, a déclaré à des journalistes la même source, un proche du président Macky Sall.
Le Comité national de la démocratie (CND), qui a proclamé jeudi l’installation du général Gilbert Diendéré à la tête du pays, a déclaré avoir ouvert les frontières terrestres et aériennes du Burkina Faso, ce vendredi.
Les frontières étaient fermées depuis mercredi par les éléments du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), une unité d’élite à l’origine du coup d’Etat.
Ces décisions ont été annoncées au chef de l’Etat sénégalais Macky Sall, président en exercice de la CEDEAO, et à son homologue béninois, Thomas Yayi Boni, désigné facilitateur du dialogue politique burkinabè pour l’organisation régionale.
Ces deux chefs d’Etat sont arrivés vendredi, en début d’après-midi, à Ouagadougou, pour amorcer le dialogue de la CEDEAO avec les leaders politiques et la société civile du Burkina Faso.
L’organisation régionale a dénoncé le coup d’Etat et a exprimé la crainte qu’il mette en péril le processus entamé depuis près d’un an, qui devait aboutir à la tenue d’élections présidentielle et législatives, le 11 octobre prochain.
Source: APS
M. Kafando se trouvait depuis mercredi entre les mains des auteurs du coup d’Etat. Ce vendredi, il est placé "en résidence surveillée, mais chez lui", à son domicile, a déclaré à des journalistes la même source, un proche du président Macky Sall.
Le Comité national de la démocratie (CND), qui a proclamé jeudi l’installation du général Gilbert Diendéré à la tête du pays, a déclaré avoir ouvert les frontières terrestres et aériennes du Burkina Faso, ce vendredi.
Les frontières étaient fermées depuis mercredi par les éléments du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), une unité d’élite à l’origine du coup d’Etat.
Ces décisions ont été annoncées au chef de l’Etat sénégalais Macky Sall, président en exercice de la CEDEAO, et à son homologue béninois, Thomas Yayi Boni, désigné facilitateur du dialogue politique burkinabè pour l’organisation régionale.
Ces deux chefs d’Etat sont arrivés vendredi, en début d’après-midi, à Ouagadougou, pour amorcer le dialogue de la CEDEAO avec les leaders politiques et la société civile du Burkina Faso.
L’organisation régionale a dénoncé le coup d’Etat et a exprimé la crainte qu’il mette en péril le processus entamé depuis près d’un an, qui devait aboutir à la tenue d’élections présidentielle et législatives, le 11 octobre prochain.
Source: APS
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