Un débat intense a opposé chroniqueurs et invités lors de l’émission Jakaarlo Bi, diffusée hier sur la Télévision Futurs Médias (TFM). Au cœur des discussions : la loi interprétative sur l’amnistie, proposée par le député Amadou Bâ. Ce dernier a tenté d’expliquer les raisons et les contours de cette loi, en insistant sur « le pourquoi voter une telle loi ». Cependant, sa position n’a pas convaincu tout le monde.
Interpellé par le chroniqueur Badara Gadiaga, Amadou Bâ a dû répondre à une question cruciale : « Qu’a décidé cette loi interprétative concernant les casseurs, pilleurs et tous ceux qui ont volontairement incendié les domiciles et les biens d’autrui ? » Visiblement insatisfait de la réponse du député, Badara Gadiaga a accusé ce dernier de « tronquer la vérité de manière manifeste ».
Le chroniqueur est allé plus loin en établissant une distinction entre son implication dans les manifestations de 2011, évoquée par Amadou Bâ, et les récentes mobilisations impliquant les militants de Pastef. « En 2011, je me suis présenté au tribunal, et le juge m’a blanchi, estimant que je n’avais commis aucun délit. C’est tout le contraire de votre leader, qui s’est réfugié à Ziguinchor lorsque la justice a voulu l’entendre dans le cadre de l’affaire récente que nous connaissons tous. Vous ne pouvez pas dissimuler la vérité. Arrêtez de raconter des contre-vérités sans sources et sans maîtriser l’histoire », a-t-il argumenté avec fermeté.
Badara Gadiaga a également souligné qu’un aspect de la loi interprétative avait été clarifié, notamment en ce qui concerne « les personnes concernées par cette loi ». Selon lui, « la question de l’expression “ayant exclusivement une motivation politique” a été résolue. Il ne reste plus qu’à définir le champ des sanctions contre certains manifestants, dont les actes doivent être identifiés en fonction de leur gravité. »
Interpellé par le chroniqueur Badara Gadiaga, Amadou Bâ a dû répondre à une question cruciale : « Qu’a décidé cette loi interprétative concernant les casseurs, pilleurs et tous ceux qui ont volontairement incendié les domiciles et les biens d’autrui ? » Visiblement insatisfait de la réponse du député, Badara Gadiaga a accusé ce dernier de « tronquer la vérité de manière manifeste ».
Le chroniqueur est allé plus loin en établissant une distinction entre son implication dans les manifestations de 2011, évoquée par Amadou Bâ, et les récentes mobilisations impliquant les militants de Pastef. « En 2011, je me suis présenté au tribunal, et le juge m’a blanchi, estimant que je n’avais commis aucun délit. C’est tout le contraire de votre leader, qui s’est réfugié à Ziguinchor lorsque la justice a voulu l’entendre dans le cadre de l’affaire récente que nous connaissons tous. Vous ne pouvez pas dissimuler la vérité. Arrêtez de raconter des contre-vérités sans sources et sans maîtriser l’histoire », a-t-il argumenté avec fermeté.
Badara Gadiaga a également souligné qu’un aspect de la loi interprétative avait été clarifié, notamment en ce qui concerne « les personnes concernées par cette loi ». Selon lui, « la question de l’expression “ayant exclusivement une motivation politique” a été résolue. Il ne reste plus qu’à définir le champ des sanctions contre certains manifestants, dont les actes doivent être identifiés en fonction de leur gravité. »
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