Cette fois, c’est une sortie (presque) totale. Après avoir cédé en 2013 le contrôle d’ArcelorMittal Algérie (complexe sidérurgique d’El Hadjar) puis fin 2014 celui d’ArcelorMittal Tébessa (mines) à l’État algérien, le groupe sidérurgique ArcelorMittal a annoncé le 7 octobre sa sortie totale de ces deux entreprises, dont il avait conservé 49 % des parts, ainsi que la cession de sa participation majoritaire (70 %) dans ArcelorMittal Pipes & Tubes Algérie, une usine de tubes d’acier.
ArcelorMittal avait pris le contrôle de ces actifs en 2001.
Assitance technique
Une fois cette nouvelle cession finalisée, dans les prochaines semaines, le numéro un mondial de l’exploitation sidérurgique et minière, avec une présence dans 60 pays et une empreinte industrielle dans 19 pays, ne conservera en Algérie qu’un rôle d’assistance technique pour « réussir le plan de développement du complexe d’El Hadjar ». Ce dernier tarde en effet à être mis en oeuvre, malgré l’octroi de crédits conséquents pour démarrer les travaux.
Les sites d’ArcelorMittal en Algérie connaissent depuis plusieurs années de fortes tensions sociales et ont de réelles difficultés financières, accentuées depuis quelques temps par les importations d’acier à bas prix venant d’Europe du Sud.
Contrôle total
« Cet accord permettra à la partie algérienne d’avoir le contrôle total des trois sociétés ArcelorMittal Algérie, ArcelorMittal Pipes & Tubes Algérie et ArcelorMittal Tébessa dans ce qui facilitera la prise de décision et la mobilisation des moyens notamment financiers pour assurer le succès de l’opération de revamping des installations industrielles et leur redémarrage dans de bonnes conditions. Cet accord permettra également de stabiliser le climat social au niveau des trois sociétés, pour améliorer leur rentabilité et préserver les emplois », a déclaré Abdessalam Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des Mines, cité dans le communiqué diffusé par ArcelorMittal. Tous les actifs seront repris par le nouveau groupe industriel public algérien Industries métallurgiques et sidérurgiques (Imetal). Le prix de la cession n’a pas été indiqué.
ArcelorMittal avait pris le contrôle de ces actifs en 2001.
Assitance technique
Une fois cette nouvelle cession finalisée, dans les prochaines semaines, le numéro un mondial de l’exploitation sidérurgique et minière, avec une présence dans 60 pays et une empreinte industrielle dans 19 pays, ne conservera en Algérie qu’un rôle d’assistance technique pour « réussir le plan de développement du complexe d’El Hadjar ». Ce dernier tarde en effet à être mis en oeuvre, malgré l’octroi de crédits conséquents pour démarrer les travaux.
Les sites d’ArcelorMittal en Algérie connaissent depuis plusieurs années de fortes tensions sociales et ont de réelles difficultés financières, accentuées depuis quelques temps par les importations d’acier à bas prix venant d’Europe du Sud.
Contrôle total
« Cet accord permettra à la partie algérienne d’avoir le contrôle total des trois sociétés ArcelorMittal Algérie, ArcelorMittal Pipes & Tubes Algérie et ArcelorMittal Tébessa dans ce qui facilitera la prise de décision et la mobilisation des moyens notamment financiers pour assurer le succès de l’opération de revamping des installations industrielles et leur redémarrage dans de bonnes conditions. Cet accord permettra également de stabiliser le climat social au niveau des trois sociétés, pour améliorer leur rentabilité et préserver les emplois », a déclaré Abdessalam Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des Mines, cité dans le communiqué diffusé par ArcelorMittal. Tous les actifs seront repris par le nouveau groupe industriel public algérien Industries métallurgiques et sidérurgiques (Imetal). Le prix de la cession n’a pas été indiqué.
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