DAKARACTU.COM - Au-delà du malaise et des dénonciations, il y a une crise profonde depuis que le chef de l'Etat, Abdoulaye Wade, a accordé une audience aux membres de l’école de lutte Balla Gaye. Une source au cœur de cette structure nous apprend que la crise est plus que profonde et n’hésite pas à parler d’éclatement si les choses ne s’arrangent pas.
Désormais ce sont deux camps qui se regardent en chiens de faïence au sein de l’école de lutte Balla Gaye. Bien des voix commencent à s’élever contre la tournure de l’audience accordée à Balla Gaye 2 et Cie. «Je voudrais simplement rappeler aux personnes qui s’activent et qui s’agitent pour politiser notre écurie que, quand on se battait pour la survie, nous ne voyions personne », lance d’emblée ce cadre de l’écurie qui accuse des éléments internes et externes. Il ajoutera non sans se révolter contre Balla Gaye 1 qu’il est hors de question que la politique occupe une place dans l'école de lutte. "Je ne reculerai devant rien pour exfiltrer toutes les personnes qui tenteront de politiser notre écurie", menace -t-il. Avant de poursuivre sur un ton moqueur : "Aujourd’hui, notre écurie fait plus pitié qu'envie." « Si l’écurie Balla Gaye doit faire de la politique, ce n’est franchement pas sur le Pds ou sur Abdoulaye Wade que nous devons porter notre soutien », lance notre interlocuteur au bout du fil. Et ce parce que rappelle-t-il, « il y a des gens comme Malick Gackou de l’Alliance des forces du progrès (AFP) qui ont été là pendant que personne ne pensait ou ne prenait la lutte au sérieux ». « Maintenant que la lutte est devenue un business et draine du monde, toute personne opportuniste peut venir pour tenter de récupérer notre écurie », poursuit-il, non sans préciser qu’il est "hors de question que l’on agisse en politique au nom et pour le compte de notre écurie." « Un homme doit avoir de la dignité et de la hauteur », conclut notre source qui renouvelle son engagement et sa fidélité au président d’honneur de l’école de lutte Balla Gaye, El Hadji Malick Gackou.
Désormais ce sont deux camps qui se regardent en chiens de faïence au sein de l’école de lutte Balla Gaye. Bien des voix commencent à s’élever contre la tournure de l’audience accordée à Balla Gaye 2 et Cie. «Je voudrais simplement rappeler aux personnes qui s’activent et qui s’agitent pour politiser notre écurie que, quand on se battait pour la survie, nous ne voyions personne », lance d’emblée ce cadre de l’écurie qui accuse des éléments internes et externes. Il ajoutera non sans se révolter contre Balla Gaye 1 qu’il est hors de question que la politique occupe une place dans l'école de lutte. "Je ne reculerai devant rien pour exfiltrer toutes les personnes qui tenteront de politiser notre écurie", menace -t-il. Avant de poursuivre sur un ton moqueur : "Aujourd’hui, notre écurie fait plus pitié qu'envie." « Si l’écurie Balla Gaye doit faire de la politique, ce n’est franchement pas sur le Pds ou sur Abdoulaye Wade que nous devons porter notre soutien », lance notre interlocuteur au bout du fil. Et ce parce que rappelle-t-il, « il y a des gens comme Malick Gackou de l’Alliance des forces du progrès (AFP) qui ont été là pendant que personne ne pensait ou ne prenait la lutte au sérieux ». « Maintenant que la lutte est devenue un business et draine du monde, toute personne opportuniste peut venir pour tenter de récupérer notre écurie », poursuit-il, non sans préciser qu’il est "hors de question que l’on agisse en politique au nom et pour le compte de notre écurie." « Un homme doit avoir de la dignité et de la hauteur », conclut notre source qui renouvelle son engagement et sa fidélité au président d’honneur de l’école de lutte Balla Gaye, El Hadji Malick Gackou.
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