La situation est toujours confuse à l’université Gaston Berger de Saint-Louis. Aussi bien pour les enseignants que pour les étudiants, les avis sur la question de la validation de l’année académique sont partagés.
Pour les responsables des Unités de formation et de recherche Ufr/ SJP (Sciences juridiques et politiques) et SAT (sciences appliquées à la technologie), les professeurs n’ont toujours pas donné une position claire sur le souhait des autorités académiques qui leur ont demandé de continuer les cours jusqu’en fin Août, à l’issue de l’assemblée universitaire qui s’est tenue ce mercredi.
Du côté des étudiants, les responsables de la CESL (Coordination des étudiants de Saint-Louis) saluent la requête des autorités universitaires, se disant très conscients du retard accusé avec cette grève. Ces derniers souhaitent que des mesures soient prises pour leur permettre de faire leurs examens dans les meilleures conditions.
Il faut toutefois souligner que même si la menace d’une année blanche ou invalide semble être écartée avec cette proposition des autorités académiques de l’Ugb, consistant à réaménager le calendrier des cours et des examens pour sauver la situation, les difficultés sont toujours présentes dans cette institution universitaire de Sanar, notamment dans le campus pédagogique.
En effet, de nombreux professeurs avaient terminé les heures de cours qui leur étaient indues. Mieux, une programmation pour les congés de recherche avait déjà été déposée pour cette fin d’année académique. Sur un autre registre, les étudiants sont dans une situation très inconfortable, dans la mesure où ils ont accusé un grand retard dans les enseignements et apprentissages, mais pire encore, ils risquent d’être soumis à des décisions qui ne leur seront pas favorables par rapport à la programmation des examens.
Pour les responsables des Unités de formation et de recherche Ufr/ SJP (Sciences juridiques et politiques) et SAT (sciences appliquées à la technologie), les professeurs n’ont toujours pas donné une position claire sur le souhait des autorités académiques qui leur ont demandé de continuer les cours jusqu’en fin Août, à l’issue de l’assemblée universitaire qui s’est tenue ce mercredi.
Du côté des étudiants, les responsables de la CESL (Coordination des étudiants de Saint-Louis) saluent la requête des autorités universitaires, se disant très conscients du retard accusé avec cette grève. Ces derniers souhaitent que des mesures soient prises pour leur permettre de faire leurs examens dans les meilleures conditions.
Il faut toutefois souligner que même si la menace d’une année blanche ou invalide semble être écartée avec cette proposition des autorités académiques de l’Ugb, consistant à réaménager le calendrier des cours et des examens pour sauver la situation, les difficultés sont toujours présentes dans cette institution universitaire de Sanar, notamment dans le campus pédagogique.
En effet, de nombreux professeurs avaient terminé les heures de cours qui leur étaient indues. Mieux, une programmation pour les congés de recherche avait déjà été déposée pour cette fin d’année académique. Sur un autre registre, les étudiants sont dans une situation très inconfortable, dans la mesure où ils ont accusé un grand retard dans les enseignements et apprentissages, mais pire encore, ils risquent d’être soumis à des décisions qui ne leur seront pas favorables par rapport à la programmation des examens.
Autres articles
-
Quand l'affaire Baltasar fait exploser Télégram!
-
Ucad: le Syndicat des Valeurs pour les Travailleurs (SV/TES) réclame des moyens pour un campus social digne
-
Incident diplomatique: la France va convoquer l'ambassadeur d'Israël à Paris (Affaires étrangères)
-
Biden s'engage à une transition "pacifique et ordonnée" avec Trump
-
CIJ: l'Irlande se joindra d'ici "la fin de l'année" à la procédure sud-africaine contre Israël