Hier en conférence de presse à Marseille, la tension était palpable. Florian Thauvin et Rudi Garcia n’ont pas été épargnés de questions concernant le « Evra Gate » avant la réception de Caen à l’Orange Vélodrome ce dimanche à 17h00. En effet, depuis jeudi et la défaite à Guimaraes en Ligue Europa (0-1), qui avait tout d’anecdotique, tout le monde ne parle que de Patrice Evra et de son coup de pied au visage d’un de ses supporters venus à sa rencontre autour de la pelouse.
Depuis, l’Olympique de Marseille a dégainé deux communiqués. Le premier jeudi pour annoncer qu’une enquête interne allait être menée pour déterminer les responsabilités de chacun. Un deuxième communiqué est arrivé vendredi après que Patrice Evra a rencontré sur président Jacques-Henri Eyraud, particulièrement muet depuis jeudi. « En outre, les premiers résultats de l’enquête interne diligentée par le club font apparaître un comportement inacceptable de la part d’une poignée de provocateurs ayant proféré des injures haineuses particulièrement graves à l’encontre du joueur, et ce, alors que celui-ci et ses coéquipiers s’échauffaient en vue d’une rencontre importante », pouvait-on lire sur le communiqué de moins de dix lignes offert par l’état major olympien.
Les supporters devraient se faire entendre ce dimanche
Evidemment, cette communication n’est pas audible pour les supporters. D’autant que Jacques-Henri Eyraud prévoit de sanctionner très lourdement les supporters qui sont descendus se confronter à Patrice Evra au Portugal d’après RMC Sport. Une situation qui fait office de déclaration de guerre selon certains et qui pourrait faire dégénérer une situation tout à fait intéressant sur le point comptable en championnat (l’OM est 4e à deux points du troisième : Nantes avec un match en moins).
Toutefois, on ne devrait pas en rester-là. En effet, les supporters qui vont retrouver l’Orange Vélodrome cet après-midi pourraient bien offrir aux spectateurs et aux téléspectateurs des banderoles très corsées selon Le Parisien et L’Equipe de ce dimanche. L’écart entre la direction et les supporters, malgré la situation comptable du club, ne cesse de grandir après un mercato d’été décevant pour la plupart des suiveurs phocéens. Reste maintenant à savoir comme combler cet écart et surtout comment va être géré le cas Patrice Evra, nouveau catalyseur de ces tensions.
Depuis, l’Olympique de Marseille a dégainé deux communiqués. Le premier jeudi pour annoncer qu’une enquête interne allait être menée pour déterminer les responsabilités de chacun. Un deuxième communiqué est arrivé vendredi après que Patrice Evra a rencontré sur président Jacques-Henri Eyraud, particulièrement muet depuis jeudi. « En outre, les premiers résultats de l’enquête interne diligentée par le club font apparaître un comportement inacceptable de la part d’une poignée de provocateurs ayant proféré des injures haineuses particulièrement graves à l’encontre du joueur, et ce, alors que celui-ci et ses coéquipiers s’échauffaient en vue d’une rencontre importante », pouvait-on lire sur le communiqué de moins de dix lignes offert par l’état major olympien.
Les supporters devraient se faire entendre ce dimanche
Evidemment, cette communication n’est pas audible pour les supporters. D’autant que Jacques-Henri Eyraud prévoit de sanctionner très lourdement les supporters qui sont descendus se confronter à Patrice Evra au Portugal d’après RMC Sport. Une situation qui fait office de déclaration de guerre selon certains et qui pourrait faire dégénérer une situation tout à fait intéressant sur le point comptable en championnat (l’OM est 4e à deux points du troisième : Nantes avec un match en moins).
Toutefois, on ne devrait pas en rester-là. En effet, les supporters qui vont retrouver l’Orange Vélodrome cet après-midi pourraient bien offrir aux spectateurs et aux téléspectateurs des banderoles très corsées selon Le Parisien et L’Equipe de ce dimanche. L’écart entre la direction et les supporters, malgré la situation comptable du club, ne cesse de grandir après un mercato d’été décevant pour la plupart des suiveurs phocéens. Reste maintenant à savoir comme combler cet écart et surtout comment va être géré le cas Patrice Evra, nouveau catalyseur de ces tensions.
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