Entre Ngoné Ndiaye Géwel et lui, c’est fini malgré les rumeurs selon lesquelles il aurait refusé d’accorder le divorce à la chanteuse-danseuse aux charmes sulfureux. Actuellement au Maroc d’où nous l’avons joint, Abraham Pipo Dio a révélé avoir rompu les liens du mariage. «J’ai divorcé de Ngoné Ndiaye, il y a de cela trois mois. Elle peut se remarier avec qui elle veut, si elle le souhaite. Quant à moi, je n’ai marié encore personne», lâche-t-il avant d’ajouter : «Quand j’épousais ma première femme, je lui avais dit qu’elle aurait trois coépouses. Et quand j’ai marié Ngoné Ndiaye, je lui avais aussi dit qu’il restait deux de plus».
Sur le fait que son ex- épouse serait courtisée par un ministre gambien, Pipo dit ne s’en émeut guère. «Même si c’est Yaya Jammeh, je le lui souhaite. Je sais que c’est une femme de caractère, qui est très respectueuse. Actuellement, je la considère comme une sœur. Si on lui amène la cola de mariage, elle peut le prendre et épouser l’homme qu’elle veut», dit-il d’un air taquin.
Parlant de sa présence au Maroc, il explique qu’il veut faire de ce pays «une base. J’ai formé ici un groupe avec des amis marocains. Je prépare un album international acoustique et funk qui va sortir après l’élection présidentielle de 2012». Dans le même album, il renseigne avoir composé un titre qui s’appelle «mbel-mbel» (bavardages inutiles). «Il y a beaucoup de bavardages inutiles dans ce pays, alors que les gens devraient avoir d’autres préoccupations. Et ce que je chante dans l’album n’a rien à voir avec Ngoné Ndiaye. Parce que l’album était prêt 9 mois avant notre divorce. Il y a un titre que j’ai dédié à ma fille aînée. Elle est en Allemagne, d’après les informations que j’ai eues. Parce qu’en vérité, je n’ai aucune nouvelle d’elle depuis onze ans maintenant», confesse-t-il.
Insistant sur le fait qu’il ne «veut pas qu’au sortir de l’album les gens pensent que je lance des piques, parce qu’il est prêt depuis onze moins en Suisse où il a été enregistré», le co-auteur de «Couple-bi» rappelle avoir «déjà chanté ma première femme dans cet album en la remerciant. Et je l’avais dit à Ngoné Ndiaye au moment de l’enregistrement. Peut-être que c’est tombé dans un contexte de divorce. Mais j’aime ma première femme, parce qu’on ne peut pas épouser une femme sans l’aimer. Ma première femme occupe une place que rien, ni personne ne peut changer».
( Le Populaire )
Sur le fait que son ex- épouse serait courtisée par un ministre gambien, Pipo dit ne s’en émeut guère. «Même si c’est Yaya Jammeh, je le lui souhaite. Je sais que c’est une femme de caractère, qui est très respectueuse. Actuellement, je la considère comme une sœur. Si on lui amène la cola de mariage, elle peut le prendre et épouser l’homme qu’elle veut», dit-il d’un air taquin.
Parlant de sa présence au Maroc, il explique qu’il veut faire de ce pays «une base. J’ai formé ici un groupe avec des amis marocains. Je prépare un album international acoustique et funk qui va sortir après l’élection présidentielle de 2012». Dans le même album, il renseigne avoir composé un titre qui s’appelle «mbel-mbel» (bavardages inutiles). «Il y a beaucoup de bavardages inutiles dans ce pays, alors que les gens devraient avoir d’autres préoccupations. Et ce que je chante dans l’album n’a rien à voir avec Ngoné Ndiaye. Parce que l’album était prêt 9 mois avant notre divorce. Il y a un titre que j’ai dédié à ma fille aînée. Elle est en Allemagne, d’après les informations que j’ai eues. Parce qu’en vérité, je n’ai aucune nouvelle d’elle depuis onze ans maintenant», confesse-t-il.
Insistant sur le fait qu’il ne «veut pas qu’au sortir de l’album les gens pensent que je lance des piques, parce qu’il est prêt depuis onze moins en Suisse où il a été enregistré», le co-auteur de «Couple-bi» rappelle avoir «déjà chanté ma première femme dans cet album en la remerciant. Et je l’avais dit à Ngoné Ndiaye au moment de l’enregistrement. Peut-être que c’est tombé dans un contexte de divorce. Mais j’aime ma première femme, parce qu’on ne peut pas épouser une femme sans l’aimer. Ma première femme occupe une place que rien, ni personne ne peut changer».
( Le Populaire )
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