Responsable politique du parti Rewmi dont il est le porte-parole, Abdourahmane Diouf se dit certain que le Sénégal n’est guère entre de bonnes mains. L’invité de « Toute la vérité » affirme que le pays n’est pas dans la bonne direction. Parmi les causes de cette carence, il cite le dédoublement fonctionnel du Président de la République qui va, selon lui, à l’encontre de la démocratie et de l’état « débridé » de l’économie.. Tout de même, se réjouit-il, le Sénégal peut se prévaloir d’une opposition responsable. Cette nouvelle dynamique enclenchée, surtout au niveau de l’hémicycle, par la gauche froisse, à son avis, le pouvoir. « Nous sommes en train de nous organiser. C’est cela qui fait peur.... Nous ne travaillons pas sur l’agenda de l’Apr. Notre seul interlocuteur c’est l’électorat Sénégalais…S’ils essayent par des subterfuges juridiques de nous diviser, nous, nous avons en face de nous notre agenda et nous continuons à travailler…Nous sommes sûrs de pouvoir offrir quelque chose aux Sénégalais en terme d’alternative programmatique ».
La transition vers le renouvellement houleux des groupes parlementaires au niveau de l’Assemblée Nationale étant toute trouvée, Abdourahmane Diouf rappelle la décision du parti de continuer à donner foi au consensus fait autour de la personne de la Présidente du conseil départemental de Bambey. « Il n'y a aucune raison de remettre en cause ce consensus autour d’Aïda M'bodj ». Autrement dit, le Rewmi s’inscrit aujourd’hui plus que jamais dans une mouvance uniforme avec le reste de l’opposition pour mieux apporter la réplique à la mouvance dite présidentielle.
Interpellé sur les départs « symboliques » de certains cadres du parti Rewmi, dont celui d’Oumar Sarr, Abdourahmane Diouf préfère se concentrer sur les arrivées qui sont tout aussi significatives, selon lui, non sans préciser qu’ « on ne gagne pas les élections avec les symboles ». Par rapport à l’intégration du Sénégal au sein du Conseil de Sécurité, le porte-parole de Rewmi applaudit, mais invite à un triomphe modeste. « On peut avoir la fierté de savoir que le Sénégal fait partie du conseil de sécurité pour la troisième fois. C’est une fierté naturelle. Nous ne mettons pas de la poussière dans le bol. Mais on doit avoir le triomphe très modeste. C’est comme si le Sénégal gagnait la coupe d’Afrique féminine et qu’on dise que l’entraîneur est le meilleur de tous... »
La transition vers le renouvellement houleux des groupes parlementaires au niveau de l’Assemblée Nationale étant toute trouvée, Abdourahmane Diouf rappelle la décision du parti de continuer à donner foi au consensus fait autour de la personne de la Présidente du conseil départemental de Bambey. « Il n'y a aucune raison de remettre en cause ce consensus autour d’Aïda M'bodj ». Autrement dit, le Rewmi s’inscrit aujourd’hui plus que jamais dans une mouvance uniforme avec le reste de l’opposition pour mieux apporter la réplique à la mouvance dite présidentielle.
Interpellé sur les départs « symboliques » de certains cadres du parti Rewmi, dont celui d’Oumar Sarr, Abdourahmane Diouf préfère se concentrer sur les arrivées qui sont tout aussi significatives, selon lui, non sans préciser qu’ « on ne gagne pas les élections avec les symboles ». Par rapport à l’intégration du Sénégal au sein du Conseil de Sécurité, le porte-parole de Rewmi applaudit, mais invite à un triomphe modeste. « On peut avoir la fierté de savoir que le Sénégal fait partie du conseil de sécurité pour la troisième fois. C’est une fierté naturelle. Nous ne mettons pas de la poussière dans le bol. Mais on doit avoir le triomphe très modeste. C’est comme si le Sénégal gagnait la coupe d’Afrique féminine et qu’on dise que l’entraîneur est le meilleur de tous... »
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