Le complexe sportif Dakar Arena de Diamniadio a abrité la cérémonie d’ouverture de ma première édition du « Dakar Sport Summit », ce Mercredi 15 novembre. Un événement inédit qui vise à promouvoir le secteur sportif sénégalais à travers un cadre juridique adapté et une institutionnalisation de l’économie du sport. Sous le présence effective du secrétaire général du ministre des Sports et du président de la Fédération sénégalaise de football, Augustin Senghor, les travaux ont été lancés.
Malick Diouf, le directeur de Prim’s et initiateur du Dakar Sport Summit entend ainsi attirer les investisseurs privés, inciter l’Etat et s’engager dans une politique sportive viable. Un ensemble qui, à moyen terme devrait permettre au pays de la Teranga de se positionner, comme un futur hub du sport. L’ambition étant également de contribuer à la croissance économique durable du sport au Sénégal.
Lors de son allocution, Augustin Senghor, le président de la fédération sénégalaise de football, a encouragé ladite entreprise. « C’est le lieu de féliciter l’agence Prim’s l’initiative d’organiser un tel sommet au Sénégal, mais aussi pour m’avoir associé à l’ouverture des travaux avec comme thème central, « le développement de l’entrepreneur sportif comme moteur de l’économie dans nos pays en Afrique. » Je pense que c’est un thème important parce qu’on le sait l’Afrique traîne par rapport aux autres continents dans ce domaine-là. Dans beaucoup de pays dans le monde, particulièrement en Europe mais aujourd’hui on le voit de plus en plus en Asie et en Amérique du Sud, le sport est un vecteur de développement économique… Cela passe par ces espaces d’échange pour pouvoir booster le sport comme moyen de développement » a-t-il expliqué.
Pour Malick Diouf qui voit en cette première édition le début d’un long processus de structuration d’innovation et de changement de paradigmes : « Ce sommet vise à encourager l’entreprenariat sportif au Sénégal et aussi à inviter le secteur privé et l’Etat à penser au financement du Sport. Il ne faudrait pas qu’on soit au stade de financement ponctuel des compétitions, mais d’une politique sportive qui va continuer à créer une industrie économique. Car il y a une industrie du sport qui existe au Sénégal, c’est juste qu’il faut institutionnaliser tout ça avec le cadre juridique qu’il faut… Malheureusement, ce n’est pas institutionnalisé et c’est là où nous on va intervenir…il faut que l’État soit conscient que financer le sport c’est contribuer à combattre le chômage des jeunes » conclu-t-il.
Mouhamadou Moustapha Gaye
Malick Diouf, le directeur de Prim’s et initiateur du Dakar Sport Summit entend ainsi attirer les investisseurs privés, inciter l’Etat et s’engager dans une politique sportive viable. Un ensemble qui, à moyen terme devrait permettre au pays de la Teranga de se positionner, comme un futur hub du sport. L’ambition étant également de contribuer à la croissance économique durable du sport au Sénégal.
Lors de son allocution, Augustin Senghor, le président de la fédération sénégalaise de football, a encouragé ladite entreprise. « C’est le lieu de féliciter l’agence Prim’s l’initiative d’organiser un tel sommet au Sénégal, mais aussi pour m’avoir associé à l’ouverture des travaux avec comme thème central, « le développement de l’entrepreneur sportif comme moteur de l’économie dans nos pays en Afrique. » Je pense que c’est un thème important parce qu’on le sait l’Afrique traîne par rapport aux autres continents dans ce domaine-là. Dans beaucoup de pays dans le monde, particulièrement en Europe mais aujourd’hui on le voit de plus en plus en Asie et en Amérique du Sud, le sport est un vecteur de développement économique… Cela passe par ces espaces d’échange pour pouvoir booster le sport comme moyen de développement » a-t-il expliqué.
Pour Malick Diouf qui voit en cette première édition le début d’un long processus de structuration d’innovation et de changement de paradigmes : « Ce sommet vise à encourager l’entreprenariat sportif au Sénégal et aussi à inviter le secteur privé et l’Etat à penser au financement du Sport. Il ne faudrait pas qu’on soit au stade de financement ponctuel des compétitions, mais d’une politique sportive qui va continuer à créer une industrie économique. Car il y a une industrie du sport qui existe au Sénégal, c’est juste qu’il faut institutionnaliser tout ça avec le cadre juridique qu’il faut… Malheureusement, ce n’est pas institutionnalisé et c’est là où nous on va intervenir…il faut que l’État soit conscient que financer le sport c’est contribuer à combattre le chômage des jeunes » conclu-t-il.
Mouhamadou Moustapha Gaye
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