"Mon histoire d’amour avec la jeunesse n’est pas terminée. Elle a commencé en 1988 lorsque j’étais en prison. Des jeunes gens ont manifesté pendant soixante-dix jours pour ma libération. Une fois élu, j’ai créé des emplois pour eux, j’en ai fait venir dans mon gouvernement, au Parlement.
Aujourd’hui, la jeunesse est gravement touchée par le chômage. Je vais lancer un nouveau chantier pour eux : créer 100 000 emplois pour les recalés du bac et les bacheliers sans formation. Ils vont assister les élèves du primaire en difficulté. Pour le reste, les rappeurs de « Y’en a marre » ne représentent qu’eux-mêmes. Ils n’ont rien à voir avec les jeunes de l’intérieur du pays."