"C’est comme si le parti n’existait pas. Parce que le président Abdoulaye Wade (son secrétaire général) n’organise pas de réunion. Aucun autre responsable ne peut prendre l’initiative d’en organiser. C’est vraiment dommage pour le parti’’, a déploré M. Diouf devant des journalistes, en marge d’une finale de football jouée à Nianiane, un village du département de Fatick.
"En réunissant les instances du parti, c’est l’occasion de former les militants, mais aussi de permettre aux uns et aux autres de pouvoir s’exprimer et de permettre au secrétaire général de prendre le pouls du parti’’, a-t-il poursuivi.
‘’Je regrette que le président [Wade] n’a plus le pouls du parti. […] Nous, qui avons défendu le parti au moment où il le fallait, continuons à être snobés. Mais, tout cela n’est pas la faute de Wade, mais plutôt de gens du parti tapis dans l’ombre, qui ne veulent pas du bien au parti", a renchéri M. Diouf. Avant d'ajouter : "Nous avons [déposé] plusieurs fois des demandes d’audience auprès du Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, depuis qu’il a été nommé à ce poste. Mais il refuse de nous recevoir pour on ne sait quelle raison, alors que nous avons travaillé avec lui depuis longtemps.’’
"Si nous allons à l’élection présidentielle dans ces conditions-là, nous allons directement tout droit au mur’’, a prévenu le responsable libéral. "Nous voulons le (Wade) rencontrer pour lui dire toute la vérité. Il y a des responsables du PDS qui ne veulent pas que le parti soit renforcé et unifié à Fatick...", a-t-il conclu.
"En réunissant les instances du parti, c’est l’occasion de former les militants, mais aussi de permettre aux uns et aux autres de pouvoir s’exprimer et de permettre au secrétaire général de prendre le pouls du parti’’, a-t-il poursuivi.
‘’Je regrette que le président [Wade] n’a plus le pouls du parti. […] Nous, qui avons défendu le parti au moment où il le fallait, continuons à être snobés. Mais, tout cela n’est pas la faute de Wade, mais plutôt de gens du parti tapis dans l’ombre, qui ne veulent pas du bien au parti", a renchéri M. Diouf. Avant d'ajouter : "Nous avons [déposé] plusieurs fois des demandes d’audience auprès du Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, depuis qu’il a été nommé à ce poste. Mais il refuse de nous recevoir pour on ne sait quelle raison, alors que nous avons travaillé avec lui depuis longtemps.’’
"Si nous allons à l’élection présidentielle dans ces conditions-là, nous allons directement tout droit au mur’’, a prévenu le responsable libéral. "Nous voulons le (Wade) rencontrer pour lui dire toute la vérité. Il y a des responsables du PDS qui ne veulent pas que le parti soit renforcé et unifié à Fatick...", a-t-il conclu.