L’opposant sénégalais Talla Sylla a invoqué "la souveraineté du peuple" pour inviter les politiciens et les juristes à retourner aux citoyens afin de recueillir leurs avis sur l’opportunité pour le président Abdoulaye Wade "de briguer un autre mandat ou pas" à la présidentielle du 26 février 2012.
‘’La meilleure manière d’éviter le chaos est de recueillir non pas l’avis d’une juridiction, fut-elle suprême, mais celui du peuple’’, a indiqué M. Sylla, vendredi à Dakar, dans une déclaration dont copie est parvenue à l’APS.
‘’Tout commence et tout se termine, se décline et acquière sa légitimité au nom du peuple sénégalais, preuve parfaite que la question, aujourd’hui, ne devrait pas être déviée de son orbite de cohérence par les constitutionnalistes et les prétendants de tous bords’’, a-t-il ajouté.
Sur cette "question" qui, selon lui, ‘’menace la paix au Sénégal, (…) c’est que le Conseil constitutionnel est entre le marteau et l’enclume puisque les conséquences d’une candidature rejetée ne seront pas moins négatives que celles d’une candidature acceptée’’.
‘’Retournons au peuple !’’, préconise l’opposant qui estime que ‘’l’avis du peuple sera déjà le meilleur conseiller du président de la République sur l’opportunité de briguer un autre mandat ou pas’’.
Ancien député, Talla Sylla est rentré de France, vendredi. Il a été accueilli vers 16h à l’Aéroport Léopold Sédar Senghor, par quelques militants de l’Alliance Jëf-Jël et de son mouvement "Wallù Jotna" (Au secours, en wolof).
( APS )
‘’La meilleure manière d’éviter le chaos est de recueillir non pas l’avis d’une juridiction, fut-elle suprême, mais celui du peuple’’, a indiqué M. Sylla, vendredi à Dakar, dans une déclaration dont copie est parvenue à l’APS.
‘’Tout commence et tout se termine, se décline et acquière sa légitimité au nom du peuple sénégalais, preuve parfaite que la question, aujourd’hui, ne devrait pas être déviée de son orbite de cohérence par les constitutionnalistes et les prétendants de tous bords’’, a-t-il ajouté.
Sur cette "question" qui, selon lui, ‘’menace la paix au Sénégal, (…) c’est que le Conseil constitutionnel est entre le marteau et l’enclume puisque les conséquences d’une candidature rejetée ne seront pas moins négatives que celles d’une candidature acceptée’’.
‘’Retournons au peuple !’’, préconise l’opposant qui estime que ‘’l’avis du peuple sera déjà le meilleur conseiller du président de la République sur l’opportunité de briguer un autre mandat ou pas’’.
Ancien député, Talla Sylla est rentré de France, vendredi. Il a été accueilli vers 16h à l’Aéroport Léopold Sédar Senghor, par quelques militants de l’Alliance Jëf-Jël et de son mouvement "Wallù Jotna" (Au secours, en wolof).
( APS )