Mes chers compatriotes,
A la veille de l’année 2012, qui sera déterminante pour l’avenir de notre pays, j’adresse à chacun d’entre vous et à tous ceux qui vous chers, mes vœux de bonheur les plus chaleureux.
Je pense d’abord à tous ceux qui, pour des raisons de maladie, de solitude, de tristesse, n’ont pas le cœur à la fête. Je pense aussi à nos valeureux soldats tombés sur le champ de bataille en Casamance, aux populations civiles victimes de ce conflit, à leurs familles, à tous ceux qui, pour des raisons liées à la défense de notre territoire, ne peuvent pas célébrer le nouvel an avec leurs proches.
Nous entamons cette année 2012 le cœur plein d’angoisses et la tête remplie de questionnements. Les ménages s’appauvrissent de jour en jour, les jeunes ont de plus en plus de mal à trouver du travail. La paix que l’on nous promettait en cent jours n’est pas encore revenue et au moment où je vous parle, de valeureux soldats, qui ont décidé de sacrifier une partie de leur jeunesse pour la défense de leur pays, sont aux mains des rebelles.
Mes chers compatriotes,
La violence aveugle qui s’est soldée par la mort d’un homme, la veille de la célébration de Noel, est la résultante des provocations exercées par le régime d’Abdoulaye Wade, qui cherche à se maintenir en place par tous les moyens. J’aime le Sénégal de tout mon cœur et c’est la raison pour laquelle je ne peux pas le laisser sombrer. Depuis plusieurs années déjà, je me bats, au prix de ma liberté, pour le respect de la légalité constitutionnelle et c’est dans ce cadre qu’à plusieurs reprises, j’ai appelé le chef de l’Etat à renoncer à sa candidature, qui expose notre pays à des lendemains d’incertitudes.
Le 26 février prochain, vous aurez à faire un choix décisif, qui marquera à jamais l’histoire de notre pays.
J’ai, dans mon Projet pour le Sénégal, exposé les moyens par lesquels je compte travailler pour l’indépendance de notre Justice, la paix en Casamance, la croissance économique qui créera de l’emploi pour les jeunes et mettra fin à la pauvreté des ménages. La situation dans laquelle se trouve le pays est d’autant plus injuste, que nous disposons des ressources humaines et financières pour améliorer le sort de nos populations. Ce que j’ai pu réaliser à Thiès prouve bien qu’en un temps record, avec de la volonté et de la détermination, nous pouvons doter nos régions d’infrastructures de qualité pour asseoir un développement économique durable. C’est pourquoi j’ai mis en place la politique « une région 100 milliards », qui vise à doter nos régions d’infrastructures, tout en mettant en place des crédits pour le financement des Petites et moyennes entreprises. Nous disposons des ressources financières suffisantes pour cela, il nous suffit de les orienter vers des secteurs prioritaire, en évitant de les gaspiller.
Mais je ne peux pas le faire sans vous. Pour réaliser cet objectif et surmonter tous les obstacles qui se dressent devant nous, j’ai plus que jamais besoin de chacun d’entre vous. Je vous invite à vous tenir debout, à mes côtés, où que vous soyez, pour qu’ensemble, nous apportions les changements tant attendus par les Sénégalais. En votant pour moi, vous me donnez l’occasion de faire quelque chose pour vous.
Je vous souhaite une bonne année 2012.
Deweneti
A la veille de l’année 2012, qui sera déterminante pour l’avenir de notre pays, j’adresse à chacun d’entre vous et à tous ceux qui vous chers, mes vœux de bonheur les plus chaleureux.
Je pense d’abord à tous ceux qui, pour des raisons de maladie, de solitude, de tristesse, n’ont pas le cœur à la fête. Je pense aussi à nos valeureux soldats tombés sur le champ de bataille en Casamance, aux populations civiles victimes de ce conflit, à leurs familles, à tous ceux qui, pour des raisons liées à la défense de notre territoire, ne peuvent pas célébrer le nouvel an avec leurs proches.
Nous entamons cette année 2012 le cœur plein d’angoisses et la tête remplie de questionnements. Les ménages s’appauvrissent de jour en jour, les jeunes ont de plus en plus de mal à trouver du travail. La paix que l’on nous promettait en cent jours n’est pas encore revenue et au moment où je vous parle, de valeureux soldats, qui ont décidé de sacrifier une partie de leur jeunesse pour la défense de leur pays, sont aux mains des rebelles.
Mes chers compatriotes,
La violence aveugle qui s’est soldée par la mort d’un homme, la veille de la célébration de Noel, est la résultante des provocations exercées par le régime d’Abdoulaye Wade, qui cherche à se maintenir en place par tous les moyens. J’aime le Sénégal de tout mon cœur et c’est la raison pour laquelle je ne peux pas le laisser sombrer. Depuis plusieurs années déjà, je me bats, au prix de ma liberté, pour le respect de la légalité constitutionnelle et c’est dans ce cadre qu’à plusieurs reprises, j’ai appelé le chef de l’Etat à renoncer à sa candidature, qui expose notre pays à des lendemains d’incertitudes.
Le 26 février prochain, vous aurez à faire un choix décisif, qui marquera à jamais l’histoire de notre pays.
J’ai, dans mon Projet pour le Sénégal, exposé les moyens par lesquels je compte travailler pour l’indépendance de notre Justice, la paix en Casamance, la croissance économique qui créera de l’emploi pour les jeunes et mettra fin à la pauvreté des ménages. La situation dans laquelle se trouve le pays est d’autant plus injuste, que nous disposons des ressources humaines et financières pour améliorer le sort de nos populations. Ce que j’ai pu réaliser à Thiès prouve bien qu’en un temps record, avec de la volonté et de la détermination, nous pouvons doter nos régions d’infrastructures de qualité pour asseoir un développement économique durable. C’est pourquoi j’ai mis en place la politique « une région 100 milliards », qui vise à doter nos régions d’infrastructures, tout en mettant en place des crédits pour le financement des Petites et moyennes entreprises. Nous disposons des ressources financières suffisantes pour cela, il nous suffit de les orienter vers des secteurs prioritaire, en évitant de les gaspiller.
Mais je ne peux pas le faire sans vous. Pour réaliser cet objectif et surmonter tous les obstacles qui se dressent devant nous, j’ai plus que jamais besoin de chacun d’entre vous. Je vous invite à vous tenir debout, à mes côtés, où que vous soyez, pour qu’ensemble, nous apportions les changements tant attendus par les Sénégalais. En votant pour moi, vous me donnez l’occasion de faire quelque chose pour vous.
Je vous souhaite une bonne année 2012.
Deweneti