En partenariat avec l’organisation internationale de la francophonie (OIF), l’observatoire de suivi des indicateurs de Développement Économique en Afrique (OSIDEA) a tenu, ce jeudi 14 mars 2024 un atelier de lancement du projet sur l’éducation citoyenne des jeunes sur la prévention et la résolution des conflits en période électorale au Sénégal. L’objectif général est de mener des activités de sensibilisation et d’éducation citoyenne auprès de jeunes et des parents en vue de prévenir voire résoudre les conflits en période préélectorale et électorale au Sénégal.
D’après Alioune Ndiaye, coordonnateur des programmes de l’OSIDEA, ce projet s’inscrit dans un contexte pour la préservation des conflits en période électorale. Fort du constat sur les scènes de violences dans certaines localités et des événements de mars 2021, il urge pour eux de jouer un rôle crucial en cette période pré-campagne afin d’aller vers des élections apaisées.
A cet effet, l’OSIDEA, avec l’appui de l’organisation internationale de la francophonie (OIF) veut promouvoir des initiatives qui vont dans le sens d’accompagner les jeunes et de travailler sur les questions de sensibilisation, de conscientisation par rapport à leur rôle et surtout par rapport à leur responsabilité qui sont aujourd’hui confiés au sein des partis politiques.
Pour bien s’organiser, des professionnels seront chargés de mener des activités de sensibilisation sur le terrain. Leur cible va porter sur les 19 partis ou coalitions de partis qui sont engagés pour la présidentielle mais aussi aux jeunes filles actives dans les organisations de la société civile.
Sur ce point, Alioune Ndiaye estime qu’ils ont eu à rencontrer pour avoir un cadre d’échange multipartite et un espace de dialogue constructif autour de l’identification des facteurs pour l’établissement des mécanismes possibles qu’il faut mettre en œuvre.
En réalité, il soutient qu’il y a un certain nombre de motifs notamment portant sur le défaut de formation au niveau des partis politiques accompagnant les jeunes et renforçant leur capacité sur leur manière de conduire certaines opérations sur le terrain.
De plus, il cite les enjeux électoraux qui sont nés d’un contexte assez particulier car, « depuis quelques années il y a une tendance assez extrême sur le discours à travers également des manifestations et autres », confirme-t-il. D’où l’importance d’identifier tous ces enjeux là et d’en faire des défis opérationnels.
Hormis ses deux programmes, d’autres activités sont prévues avec la mission d’observation électorale qui se fera en collaboration avec le comité des organisations de la société civile pour les élections. Cette mission d’observation permettra d’avoir une vue sur le déroulement du scrutin et de procéder à des remontées d’information qui feront l’objet d’une analyse assez englobante sur le déroulement de la présidentielle.
D’après Alioune Ndiaye, coordonnateur des programmes de l’OSIDEA, ce projet s’inscrit dans un contexte pour la préservation des conflits en période électorale. Fort du constat sur les scènes de violences dans certaines localités et des événements de mars 2021, il urge pour eux de jouer un rôle crucial en cette période pré-campagne afin d’aller vers des élections apaisées.
A cet effet, l’OSIDEA, avec l’appui de l’organisation internationale de la francophonie (OIF) veut promouvoir des initiatives qui vont dans le sens d’accompagner les jeunes et de travailler sur les questions de sensibilisation, de conscientisation par rapport à leur rôle et surtout par rapport à leur responsabilité qui sont aujourd’hui confiés au sein des partis politiques.
Pour bien s’organiser, des professionnels seront chargés de mener des activités de sensibilisation sur le terrain. Leur cible va porter sur les 19 partis ou coalitions de partis qui sont engagés pour la présidentielle mais aussi aux jeunes filles actives dans les organisations de la société civile.
Sur ce point, Alioune Ndiaye estime qu’ils ont eu à rencontrer pour avoir un cadre d’échange multipartite et un espace de dialogue constructif autour de l’identification des facteurs pour l’établissement des mécanismes possibles qu’il faut mettre en œuvre.
En réalité, il soutient qu’il y a un certain nombre de motifs notamment portant sur le défaut de formation au niveau des partis politiques accompagnant les jeunes et renforçant leur capacité sur leur manière de conduire certaines opérations sur le terrain.
De plus, il cite les enjeux électoraux qui sont nés d’un contexte assez particulier car, « depuis quelques années il y a une tendance assez extrême sur le discours à travers également des manifestations et autres », confirme-t-il. D’où l’importance d’identifier tous ces enjeux là et d’en faire des défis opérationnels.
Hormis ses deux programmes, d’autres activités sont prévues avec la mission d’observation électorale qui se fera en collaboration avec le comité des organisations de la société civile pour les élections. Cette mission d’observation permettra d’avoir une vue sur le déroulement du scrutin et de procéder à des remontées d’information qui feront l’objet d’une analyse assez englobante sur le déroulement de la présidentielle.
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