Le cas de mon pays me semble alarmant. Les signes annonciateurs de futurs troubles sont la. Le risque est énorme donc le danger guette.
Ces échéances de 2012 constituent un couteau à double tranchant.
D’abord parce que la controverse autour de la candidature de WADE est bien réelle. En effet, l’opposition qui, semble, se sentir pousser des ailes, joue sa crédibilité. Elle s’est mise en première ligne contre cette volonté du président sortant de se representer.Pour cela, elle peut se targuer du soutien de la jeunesse, de la société civile, bref de la majeure partie de la population. Les mobilisations autour du MOUVEMENT du 23juin en disent long
Donc, imaginons que le conseil constitutionnel soit emmené à valider la candidature de WADE, quelle sera alors la réaction de BENNO ?
La dénonciation certainement, suivie d’appels à manifester de façon pacifique qui, probablement aboutiront à une guérilla urbaine tant la tension sera alors ambiante. On aura ainsi droit au même scenario que celui des 23 et 27 juin
Qui est ce qui convaincra le M23 d’accepter la décision du conseil constitutionnel rendue en faveur de WADE ? Les guides religieux ? L’UE ? La CDEAO ? Certainement pas ! Le chaos sera indescriptible à juste quelque trois mois de l’élection. Toutes les forces de l’ordre seront mobilisées et l’armée effectuera son entrée sur scène et le reste se passera de commentaire. Mais cette situation en aucun cas ne s’améliorerait puisque, non seulement, le président sortant ne renoncera pas à sa candidature et les élections pourraient être repoussées .On s’enfoncera plus dans la crise
Fin de l’acte 1
Ensuite, le peuple commence à se faire à l’idée qu’il y’aura des fraudes massives. Imaginons ici aussi que WADE arrive à se maintenir au pouvoir en remportant les élections. La pilule sera dure à avaler. La victoire du camp au pouvoir serait perçue comme un scandale sans précédant et ainsi les émeutes prendront place pour appeler au départ du vieux qui là aussi ne bronchera pas. Ces émeutes seront propres au SENEGAL du fait que la guerre sera totale entre WADE plus ses forces de l’ordre et sa clique et la majorité de la population.
Wade doit savoir quitter pendant qu’il est encore temps. A mon humble avis et pour la préservation de la paix sociale déjà précaire de mon cher pays, j’en appelle au président de renoncer à sa candidature
Ces échéances de 2012 constituent un couteau à double tranchant.
D’abord parce que la controverse autour de la candidature de WADE est bien réelle. En effet, l’opposition qui, semble, se sentir pousser des ailes, joue sa crédibilité. Elle s’est mise en première ligne contre cette volonté du président sortant de se representer.Pour cela, elle peut se targuer du soutien de la jeunesse, de la société civile, bref de la majeure partie de la population. Les mobilisations autour du MOUVEMENT du 23juin en disent long
Donc, imaginons que le conseil constitutionnel soit emmené à valider la candidature de WADE, quelle sera alors la réaction de BENNO ?
La dénonciation certainement, suivie d’appels à manifester de façon pacifique qui, probablement aboutiront à une guérilla urbaine tant la tension sera alors ambiante. On aura ainsi droit au même scenario que celui des 23 et 27 juin
Qui est ce qui convaincra le M23 d’accepter la décision du conseil constitutionnel rendue en faveur de WADE ? Les guides religieux ? L’UE ? La CDEAO ? Certainement pas ! Le chaos sera indescriptible à juste quelque trois mois de l’élection. Toutes les forces de l’ordre seront mobilisées et l’armée effectuera son entrée sur scène et le reste se passera de commentaire. Mais cette situation en aucun cas ne s’améliorerait puisque, non seulement, le président sortant ne renoncera pas à sa candidature et les élections pourraient être repoussées .On s’enfoncera plus dans la crise
Fin de l’acte 1
Ensuite, le peuple commence à se faire à l’idée qu’il y’aura des fraudes massives. Imaginons ici aussi que WADE arrive à se maintenir au pouvoir en remportant les élections. La pilule sera dure à avaler. La victoire du camp au pouvoir serait perçue comme un scandale sans précédant et ainsi les émeutes prendront place pour appeler au départ du vieux qui là aussi ne bronchera pas. Ces émeutes seront propres au SENEGAL du fait que la guerre sera totale entre WADE plus ses forces de l’ordre et sa clique et la majorité de la population.
Wade doit savoir quitter pendant qu’il est encore temps. A mon humble avis et pour la préservation de la paix sociale déjà précaire de mon cher pays, j’en appelle au président de renoncer à sa candidature