Les recommandations du séminaire bilan du secteur de l’éducation et de la formation ont fait état de la nécessité de mener une étude diagnostic pour mieux comprendre la faiblesse des résultats scolaires à l’élémentaire et au secondaire.
‘’L’atelier a adopté une recommandation très importante pour mener une étude diagnostic qui devrait permettre de mieux comprendre les facteurs pédagogiques et contextuelles qui impactent sur les résultats des examens’’, a dit le directeur de la planification et de la réforme de l’éducation (DPRE).
Djibril Ndiaye Diouf s’exprimait lors de la clôture jeudi du séminaire bilan du secteur de l’éducation.
Cette étude sera faite pour ‘’voir quelles sont les préconisations à adopter pour améliorer la situation’’.
Il s’agissait, à travers le bilan à mi-parcours, ‘’d’apprécier les résultats scolaires aussi bien au Certificat de fin d’études, du BFEM que du Baccalauréat mais aussi des résultats dans le secteur de l’enseignement technique et de la formation’’.
‘’Le constat qui n’est pas nouveau et il est largement partagé puisque les résultats n’ont pas été à la hauteur des attentes pour es différents examens’’, a dit Djibril Ndiaye Diouf.
Les notes des inspections d’académie (IA) ont été aussi partagées entre participants pour permettre à chaque IA de pouvoir situer ses performances par rapport à ses propres objectifs, mais aussi par rapport aux autres académies et à la moyenne nationale.
Le rapport consolidé produit par la coordination nationale devra faire l’objet d’une analyse au niveau local, sous l’’égide des IA mais en partenariat avec les IDEN, les collectivités locales, les syndicats et la société civile pour essayer de voir les performances, selon Djibril Ndiaye Diouf.
Le séminaire bilan ouvert mardi avait deux axes d’orientation. Il y avait d’abord la programmation annuelle 2011 et ensuite le niveau d’exécution des activités programmées pour voir les difficultés d’exécution rencontrées par les différents centres de responsabilité.
Cela pour permettre aux participants, selon le DPRE, de ‘’préconiser des mesures qui permettront en décembre au moment du bilan annuel d’avoir un niveau d’exécution technique et financier satisfaisant de la programmation de 2011’’.
L’autre axe du séminaire bilan du secteur de l’éducation était de voir en rapport avec les résultats scolaires, les informations reçues du terrain dans le cadre des rapports des IA, voir quelles sont les mesures pratiques à prendre pour garantir une bonne rentrée scolaire.
La rencontre a regroupé l’ensemble des acteurs de la communauté éducative, les autorités académiques du niveau central et déconcentré, les collectivités locales, les syndicats d’enseignants.
Pour la coordination du PDEF, il était important que toute cette communauté partage pour aboutir des conclusions bénéfiques au système éducatif dans son ensemble.
La direction de la réforme et de la planification a constaté que pour cette évaluation à mi-parcours, le niveau technique et financier de la programmation annuelle est ’’satisfaisant’’ par rapport aux années passées.
Au plan technique, le niveau d’exécution varie entre 50 et 90% environ. Concernant l’exécution financière, le niveau se situe entre 50 et 87% à quelques mois de la fin du Programme décennal de l’éducation et de la formation (PDEF 2000-2011).
Pour la direction de la planification et de la réforme, si les centres d’exécution et de responsabilité mettent en œuvre les mesures déjà identifiées dans le cadre de la rencontre, en fin décembre le PDEF enregistra ‘’un bilan très positif’’.
( APS )
‘’L’atelier a adopté une recommandation très importante pour mener une étude diagnostic qui devrait permettre de mieux comprendre les facteurs pédagogiques et contextuelles qui impactent sur les résultats des examens’’, a dit le directeur de la planification et de la réforme de l’éducation (DPRE).
Djibril Ndiaye Diouf s’exprimait lors de la clôture jeudi du séminaire bilan du secteur de l’éducation.
Cette étude sera faite pour ‘’voir quelles sont les préconisations à adopter pour améliorer la situation’’.
Il s’agissait, à travers le bilan à mi-parcours, ‘’d’apprécier les résultats scolaires aussi bien au Certificat de fin d’études, du BFEM que du Baccalauréat mais aussi des résultats dans le secteur de l’enseignement technique et de la formation’’.
‘’Le constat qui n’est pas nouveau et il est largement partagé puisque les résultats n’ont pas été à la hauteur des attentes pour es différents examens’’, a dit Djibril Ndiaye Diouf.
Les notes des inspections d’académie (IA) ont été aussi partagées entre participants pour permettre à chaque IA de pouvoir situer ses performances par rapport à ses propres objectifs, mais aussi par rapport aux autres académies et à la moyenne nationale.
Le rapport consolidé produit par la coordination nationale devra faire l’objet d’une analyse au niveau local, sous l’’égide des IA mais en partenariat avec les IDEN, les collectivités locales, les syndicats et la société civile pour essayer de voir les performances, selon Djibril Ndiaye Diouf.
Le séminaire bilan ouvert mardi avait deux axes d’orientation. Il y avait d’abord la programmation annuelle 2011 et ensuite le niveau d’exécution des activités programmées pour voir les difficultés d’exécution rencontrées par les différents centres de responsabilité.
Cela pour permettre aux participants, selon le DPRE, de ‘’préconiser des mesures qui permettront en décembre au moment du bilan annuel d’avoir un niveau d’exécution technique et financier satisfaisant de la programmation de 2011’’.
L’autre axe du séminaire bilan du secteur de l’éducation était de voir en rapport avec les résultats scolaires, les informations reçues du terrain dans le cadre des rapports des IA, voir quelles sont les mesures pratiques à prendre pour garantir une bonne rentrée scolaire.
La rencontre a regroupé l’ensemble des acteurs de la communauté éducative, les autorités académiques du niveau central et déconcentré, les collectivités locales, les syndicats d’enseignants.
Pour la coordination du PDEF, il était important que toute cette communauté partage pour aboutir des conclusions bénéfiques au système éducatif dans son ensemble.
La direction de la réforme et de la planification a constaté que pour cette évaluation à mi-parcours, le niveau technique et financier de la programmation annuelle est ’’satisfaisant’’ par rapport aux années passées.
Au plan technique, le niveau d’exécution varie entre 50 et 90% environ. Concernant l’exécution financière, le niveau se situe entre 50 et 87% à quelques mois de la fin du Programme décennal de l’éducation et de la formation (PDEF 2000-2011).
Pour la direction de la planification et de la réforme, si les centres d’exécution et de responsabilité mettent en œuvre les mesures déjà identifiées dans le cadre de la rencontre, en fin décembre le PDEF enregistra ‘’un bilan très positif’’.
( APS )