Face à la recrudescence des agressions contre les femmes à Kafountine, la ville a mis en place une série de mesures pour assurer la sécurité de la population. Parmi les principales actions, on note le renforcement de la surveillance de la circulation et des restrictions dans certains secteurs d'activité, en attendant le déploiement de brigades de police et de gendarmerie.
La mairie a également procédé à l'expulsion des vagabonds qui squattaient le quai de pêche. De plus, informe le journal Le Quotidien, la mairie a exigé des pièces d'identité pour les résidents de Kafountine et entrepris la régularisation des étrangers sans carte de résidence. Les bailleurs de logements ont aussi l'obligation d'enregistrer leurs locataires auprès des délégués de quartier.
Par ailleurs, la municipalité a mené des concertations avec les délégués de quartier, le président de la jeunesse et les femmes afin de définir d'autres mesures de sécurité. Elle collabore également avec la Plateforme des femmes pour la paix en Casamance pour l'accompagnement des victimes d'agressions. La gendarmerie a ouvert une enquête suite à la première agression signalée.
Depuis février 2024, plusieurs cas de violences physiques et sexuelles ciblant des femmes ont été recensés, y compris un assassinat dans le quartier de Najacounda. Cette situation alarmante a suscité l'indignation et la ferme condamnation de la Plateforme des femmes pour la paix en Casamance et des organisations de la société civile.
La mairie a également procédé à l'expulsion des vagabonds qui squattaient le quai de pêche. De plus, informe le journal Le Quotidien, la mairie a exigé des pièces d'identité pour les résidents de Kafountine et entrepris la régularisation des étrangers sans carte de résidence. Les bailleurs de logements ont aussi l'obligation d'enregistrer leurs locataires auprès des délégués de quartier.
Par ailleurs, la municipalité a mené des concertations avec les délégués de quartier, le président de la jeunesse et les femmes afin de définir d'autres mesures de sécurité. Elle collabore également avec la Plateforme des femmes pour la paix en Casamance pour l'accompagnement des victimes d'agressions. La gendarmerie a ouvert une enquête suite à la première agression signalée.
Depuis février 2024, plusieurs cas de violences physiques et sexuelles ciblant des femmes ont été recensés, y compris un assassinat dans le quartier de Najacounda. Cette situation alarmante a suscité l'indignation et la ferme condamnation de la Plateforme des femmes pour la paix en Casamance et des organisations de la société civile.