Une commission nationale de surveillance des appels téléphoniques entrants au Sénégal sera bientôt mise en place, a indiqué lundi, le ministre de la Communication, des Télécommunications et des TIC, Moustapha Guirassy.
Son objectif est d’assurer ‘’la transparence ; on va dans le sens de mieux partager avec nos concitoyens’’, a dit M. Guirassy, dans un entretien accordé à l’APS et au quotidien Le Soleil.
‘’Cette commission sera composée d’un représentant de l’Etat, des représentants des trois opérateurs de téléphonie et de parlementaires’’, a-t-il expliqué, confirmant la signature du décret instituant un système de contrôle et de tarification des communications téléphoniques entrant au Sénégal.
Cette mesure sera exécutée par l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).
‘’Au delà, nous voulons impliquer des partenaires comme les associations de consommateurs’’, a encore dit le porte-parole du gouvernement. Il a ajouté : ‘’Nous avons des fleurons comme la SONATEL, dans le secteur des télécommunications, il est important pour l’Etat d’accompagner l’évolution’’.
Selon M Guirassy ‘’certains assimilent le contrôle à un frein’’. Mais, a-t-il assuré, ‘’nous voulons, à travers la commission, montrer la transparence et une meilleure gestion des deniers publics’’.
Ce contrôle sera un ‘’filtre qu’on met en place’’ a dit le ministre, non sans relever qu’un ‘’Etat responsable doit exercer ces genres d’action’’.
Selon lui, le souci de transparence ‘’a guidé l’Etat à travers la mise en place de cette commission’’.
A travers ce décret, ‘’l’Etat du Sénégal demande aux opérateurs étrangers d’accompagner ses efforts de développement’’, a dit M. Guirassy, estimant ‘’normal que l’Etat demande des quotes-parts qui serviront à financer le développement du pays’’.
Il a en outre assuré que ‘’tout ce qui sera collecté sera reversé au trésor’’. Selon lui, ‘’globalement, c’est le Sénégal qui profitera de ces retombées’’ liées à la taxation des appels entrants.
( APS )
Son objectif est d’assurer ‘’la transparence ; on va dans le sens de mieux partager avec nos concitoyens’’, a dit M. Guirassy, dans un entretien accordé à l’APS et au quotidien Le Soleil.
‘’Cette commission sera composée d’un représentant de l’Etat, des représentants des trois opérateurs de téléphonie et de parlementaires’’, a-t-il expliqué, confirmant la signature du décret instituant un système de contrôle et de tarification des communications téléphoniques entrant au Sénégal.
Cette mesure sera exécutée par l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).
‘’Au delà, nous voulons impliquer des partenaires comme les associations de consommateurs’’, a encore dit le porte-parole du gouvernement. Il a ajouté : ‘’Nous avons des fleurons comme la SONATEL, dans le secteur des télécommunications, il est important pour l’Etat d’accompagner l’évolution’’.
Selon M Guirassy ‘’certains assimilent le contrôle à un frein’’. Mais, a-t-il assuré, ‘’nous voulons, à travers la commission, montrer la transparence et une meilleure gestion des deniers publics’’.
Ce contrôle sera un ‘’filtre qu’on met en place’’ a dit le ministre, non sans relever qu’un ‘’Etat responsable doit exercer ces genres d’action’’.
Selon lui, le souci de transparence ‘’a guidé l’Etat à travers la mise en place de cette commission’’.
A travers ce décret, ‘’l’Etat du Sénégal demande aux opérateurs étrangers d’accompagner ses efforts de développement’’, a dit M. Guirassy, estimant ‘’normal que l’Etat demande des quotes-parts qui serviront à financer le développement du pays’’.
Il a en outre assuré que ‘’tout ce qui sera collecté sera reversé au trésor’’. Selon lui, ‘’globalement, c’est le Sénégal qui profitera de ces retombées’’ liées à la taxation des appels entrants.
( APS )