« Le Syndicat des Travailleurs Libres du « Soleil » (Stls) demande « l’audit de la Sspp (Le Soleil) sur la question des fonds mis à sa disposition par l’Etat du Sénégal au titre de la rémunération du service public de l’information et autres subventions pour un montant cumulé de 2 milliards de F.CFA depuis 2008 », déclare le nouveau syndicat dans un communiqué.
Le contribuable, poursuit-il, doit être édifié sur les « 850 millions de F.Cfa en 2010, pour deux exercices cumulés (2009 et 2008), les 850 millions de F.Cfa en 2011, pour deux autres exercices cumulés (2011 et 2010) et les 300 millions de F.Cfa à titre de subvention pour l’exercice 2011 ».
Selon les membres de ce syndicat, les 2 milliards de F.Cfa n’ont pas permis de changer, sensiblement et durablement, le quotidien des travailleurs de la SSPP Le Soleil.
A leurs yeux, le rejet du marché des véhicules de la Direction et de reportage, le forcing qui s’en est suivi par le moyen d’un arbitrage en dépit des vices de forme criants sont une manifestation de l’option délibérée de dicter aux règles le seul point de vue de la Direction Générale. Ces actes sont dignes d’un amateurisme qui écorne l’image de la SSPP « Le Soleil ». Cette image-là qu’était censé « lustrer » l’auteur de ce marché cassé par la Direction Centrale des Marchés publics (DCMP), confirmé par l’Autorité de Régulation des Marchés publics (ARMP) ».
Le contribuable, poursuit-il, doit être édifié sur les « 850 millions de F.Cfa en 2010, pour deux exercices cumulés (2009 et 2008), les 850 millions de F.Cfa en 2011, pour deux autres exercices cumulés (2011 et 2010) et les 300 millions de F.Cfa à titre de subvention pour l’exercice 2011 ».
Selon les membres de ce syndicat, les 2 milliards de F.Cfa n’ont pas permis de changer, sensiblement et durablement, le quotidien des travailleurs de la SSPP Le Soleil.
A leurs yeux, le rejet du marché des véhicules de la Direction et de reportage, le forcing qui s’en est suivi par le moyen d’un arbitrage en dépit des vices de forme criants sont une manifestation de l’option délibérée de dicter aux règles le seul point de vue de la Direction Générale. Ces actes sont dignes d’un amateurisme qui écorne l’image de la SSPP « Le Soleil ». Cette image-là qu’était censé « lustrer » l’auteur de ce marché cassé par la Direction Centrale des Marchés publics (DCMP), confirmé par l’Autorité de Régulation des Marchés publics (ARMP) ».