DAKARACTU.COM William Burns, sous-secrétaire d'Etat américain chargé des affaires politiques, va sillonner des capitales africaines du 26 au 30 janvier dans le cadre d'une tournée dont le clou sera sa rencontre à Accra avec le président ghanéen John Atta Mills. Après quoi il se rendra à Addis-Abeba pour prendre part au sommet ordinaire des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine (UA).
Dans le cadre de son séjour en Afrique, Burns a dans sa feuille de route un point essentiel: rencontrer le maximum de chefs d'Etat africains, discuter avec eux des risques de crise qui guettent le Sénégal, les convaincre de l'irrecevabilité de la candidature d'Abdoulaye Wade à la présidentielle de février, les amener à s'impliquer pour dissuader le numéro un sénégalais d'aller jusqu'au bout de sa volonté de briguer sa propre succession... Vaste programme. Sera-t-il entendu par les pairs de Wade ? Quel impact aura sa démarche ?
Une seule certitude: on assisterait à une situation bien cocasse si l'agenda politique du pays n'imposait pas à Wade de ne pas se rendre à Addis-Abeba. Wade n'est pas de tempérament à laisser parler de lui sans répliquer.
Dans le cadre de son séjour en Afrique, Burns a dans sa feuille de route un point essentiel: rencontrer le maximum de chefs d'Etat africains, discuter avec eux des risques de crise qui guettent le Sénégal, les convaincre de l'irrecevabilité de la candidature d'Abdoulaye Wade à la présidentielle de février, les amener à s'impliquer pour dissuader le numéro un sénégalais d'aller jusqu'au bout de sa volonté de briguer sa propre succession... Vaste programme. Sera-t-il entendu par les pairs de Wade ? Quel impact aura sa démarche ?
Une seule certitude: on assisterait à une situation bien cocasse si l'agenda politique du pays n'imposait pas à Wade de ne pas se rendre à Addis-Abeba. Wade n'est pas de tempérament à laisser parler de lui sans répliquer.