Le Casino du Port est menacé de fermeture par les autorités. En clair, depuis que Christophe Rahal a entrepris des travaux de rénovation et d'extension au sol et en hauteur sans autorisation de construire, il s’expose à de lourdes sanctions. En plus d’avoir démarré ses travaux sans le feu vert de la mairie du Dakar-Plateau, Rahal a commis une autre faute : celle de transformer un monument classé patrimoine historique. Jeudi dernier, la Commission régionale de la protection civile a effectué une visite sur les lieux.
Face aux membres de la dite commission, Christophe Rahal a été incapable de sortir une autorisation de construire, encore moins un document prouvant qu’il avait l’aval du ministère de la Culture pour entreprendre des travaux sur un patrimoine historique. Rahal a également aggravé son cas en ignorant une sommation de la municipalité de Dakar-Plateau qui lui avait demandé d’arrêter les travaux.
De même, il ne s’était toujours pas acquitté d’une taxe de 137 millions de francs CFA qui accompagne ce genre de forfaiture. Toutes choses qui font que les autorités, face à ces nombreux défis lancés par Christophe Rahal, n’ont désormais qu’une seule solution : demander la fermeture pure et simple du Casino du Port.
« Certains même se demandent si c’était un Sénégalais ? Est-ce qu’il bénéficierait du même traitement ? Pour moins que ça, des marchands ambulants ont vu leurs tables confisquées et ont été parfois arrêtés pour occupation illégale de la voie publique », rapporte notre source.
En effet, outre le fait d’avoir construit sans autorisation, Christophe Rahal a entrepris également des aménagements sur la voie publique.
Là également, sans le feu vert de la municipalité. Le rapport attendu de la Commission régionale de la protection civile risque d’être salé pour le Casino du Port.
Face aux membres de la dite commission, Christophe Rahal a été incapable de sortir une autorisation de construire, encore moins un document prouvant qu’il avait l’aval du ministère de la Culture pour entreprendre des travaux sur un patrimoine historique. Rahal a également aggravé son cas en ignorant une sommation de la municipalité de Dakar-Plateau qui lui avait demandé d’arrêter les travaux.
De même, il ne s’était toujours pas acquitté d’une taxe de 137 millions de francs CFA qui accompagne ce genre de forfaiture. Toutes choses qui font que les autorités, face à ces nombreux défis lancés par Christophe Rahal, n’ont désormais qu’une seule solution : demander la fermeture pure et simple du Casino du Port.
« Certains même se demandent si c’était un Sénégalais ? Est-ce qu’il bénéficierait du même traitement ? Pour moins que ça, des marchands ambulants ont vu leurs tables confisquées et ont été parfois arrêtés pour occupation illégale de la voie publique », rapporte notre source.
En effet, outre le fait d’avoir construit sans autorisation, Christophe Rahal a entrepris également des aménagements sur la voie publique.
Là également, sans le feu vert de la municipalité. Le rapport attendu de la Commission régionale de la protection civile risque d’être salé pour le Casino du Port.