Les éléments du commissariat de Gouye-Mbind ont instruit une rocambolesque affaire de mœurs qui s'est produite au cœur du populeux quartier de Darou Miname à Touba. D’après le quotidien L’Observateur, il s’agit d’un scénario digne d'un véritable film de pornographique, en plein jour. Mercredi passé, vers 11 heures, la nommée Mbène Seck, divorcée et mère de deux enfants, est allée se réfugier toute nue dans une maison voisine, après s’être échappée des assauts sexuels de son présumé ravisseur. Selon L’Obs, elle a passé un sale quart d'heure entre les mains de son bourreau. Abdoulaye Sarr de son nom à l'Etat-Civil, transcripteur en arabe de profession, principal mis en cause dans cette histoire de séquestration suivie de viol, est depuis vendredi passé, à la Maison d'arrêt de correction de Diourbel.
C'est en effet, le mercredi précédent qu'il a invité la dame divorcée dans son appartement, avant d'abuser sexuellement d'elle, « sous la menace d'un couteau », selon les déclarations sur procès-verbal de la victime. Arrêté quelques minutes après les faits à lui reprochés par les hommes du lieutenant Mbaye de la police de Gouye-Mbind, le présumé violeur dit avoir noué des relations avec sa copine par l'entremise d'une amie à cette dernière. Tout est parti de la volonté manifeste de Mbéne Seck de trouver du travail et elle s'en est ouverte à son amie qui a fini de la recommander à Abdoulaye Sarr qui passait pour un grand commerçant établi à Touba, mais faisant la navette entre la cité religieuse et Dubaï.
Le contact établi, le mis en cause et la présumée victime finissent par convenir d'une partie de jambes en l'air. Sur place, la dame divorcée a eu la surprise de sa vie. Séquestrée dans un appartement, elle accuse Abdoulaye Sarr de l’avoir menacée avec une arme. « Il a brandi un couteau et m'a contrainte de coucher avec lui. Ainsi, il m'a complètement déshabillée avant de se jeter sur moi et me contraindre à un acte sexuel », soutient la victime sur procès-verbal, retraçant le film de sa mésaventure dans les moindres détails devant les enquêteurs, la confrontation avec le mis en cause fait ressortir des éléments non concordants.
En effet, pour Abdoulaye Sarr, la quarantaine sonnée, estime qu'il n'y a jamais eu de menace. Il explique qu'il ne s'agit ni plus ni moins que de rapports sexuels consentis avec sa petite amie qui ne parvenait plus à le supporter. « Elle s'est échappée toute nue parce qu'elle ne pouvait plus tenir. J'ai passé à l'acte plus de 40 minutes, non stop. Elle a dû son salut à un enfant que j'avais commis pour m'amener mon petit-déjeuner qui tapait avec insistance à la porte de la chambre. Elle a saisi cette occasion pour s'échapper toute nue et courir dans la rue pour se réfugier dans le domicile d'en face. Ce sont certains membres de cette famille qui sont d'ailleurs venus ici lui récupérer ses habits a-t-il déclaré.
Tout de même, au cours de l'enquête, il est ressorti que le mis en cause est un faux commerçant. Il est plus tôt un transcripteur en Arabe pour certains marabouts moyennant de l'argent. Les enquêteurs l'ont déféré au tribunal de grande instance de Diourbel pour viol et menaces de mort.
C'est en effet, le mercredi précédent qu'il a invité la dame divorcée dans son appartement, avant d'abuser sexuellement d'elle, « sous la menace d'un couteau », selon les déclarations sur procès-verbal de la victime. Arrêté quelques minutes après les faits à lui reprochés par les hommes du lieutenant Mbaye de la police de Gouye-Mbind, le présumé violeur dit avoir noué des relations avec sa copine par l'entremise d'une amie à cette dernière. Tout est parti de la volonté manifeste de Mbéne Seck de trouver du travail et elle s'en est ouverte à son amie qui a fini de la recommander à Abdoulaye Sarr qui passait pour un grand commerçant établi à Touba, mais faisant la navette entre la cité religieuse et Dubaï.
Le contact établi, le mis en cause et la présumée victime finissent par convenir d'une partie de jambes en l'air. Sur place, la dame divorcée a eu la surprise de sa vie. Séquestrée dans un appartement, elle accuse Abdoulaye Sarr de l’avoir menacée avec une arme. « Il a brandi un couteau et m'a contrainte de coucher avec lui. Ainsi, il m'a complètement déshabillée avant de se jeter sur moi et me contraindre à un acte sexuel », soutient la victime sur procès-verbal, retraçant le film de sa mésaventure dans les moindres détails devant les enquêteurs, la confrontation avec le mis en cause fait ressortir des éléments non concordants.
En effet, pour Abdoulaye Sarr, la quarantaine sonnée, estime qu'il n'y a jamais eu de menace. Il explique qu'il ne s'agit ni plus ni moins que de rapports sexuels consentis avec sa petite amie qui ne parvenait plus à le supporter. « Elle s'est échappée toute nue parce qu'elle ne pouvait plus tenir. J'ai passé à l'acte plus de 40 minutes, non stop. Elle a dû son salut à un enfant que j'avais commis pour m'amener mon petit-déjeuner qui tapait avec insistance à la porte de la chambre. Elle a saisi cette occasion pour s'échapper toute nue et courir dans la rue pour se réfugier dans le domicile d'en face. Ce sont certains membres de cette famille qui sont d'ailleurs venus ici lui récupérer ses habits a-t-il déclaré.
Tout de même, au cours de l'enquête, il est ressorti que le mis en cause est un faux commerçant. Il est plus tôt un transcripteur en Arabe pour certains marabouts moyennant de l'argent. Les enquêteurs l'ont déféré au tribunal de grande instance de Diourbel pour viol et menaces de mort.