LE PAYS - Elles sont toutes les quatre Sénégalaises et, à quelques années près, de la même génération. Leurs musiciens jouent souvent des instruments identiques. Pourtant leur approche musicale diffère du tout au tout. Sur toute la ligne. Idem pour leurs parcours. Ce qui rapproche ces divas accomplies reste, le feeling, la voix, mais aussi et surtout la volonté farouche de s’imposer sous nos cieux et sur l’échiquier international. Pour mieux les cerner, nous avons sollicité l’œil avisé de Guissé Pène, consultant culturel, non moins Secrétaire Général de l’Association des Métiers de la Musique du Sénégal (AMS).
Aux yeux de Guissé, qui n’est plus à présenter dans le microcosme du show-biz pour son expertise reconnu dans le domaine, les styles jusque-là incarnés par Viviane, Coumba Gawlo, Adiouza et Titi, diffèrent et « sur toute la ligne ». Elles ont certes de belles voix, mais à degrés divers. « Cela va du soprano à la fluette entre autres » renseigne Guissé. Qui renchérit que : « l’enfance et l’environnement dans lequel elles ont évolué dans leur prime jeunesse, ont beaucoup influé sur leur carrière musicale. Cela se ressent même dans leurs œuvres ». Et le non moins frangin de l’illustre Oumar Pène d’étayer son argumentaire pour faire la remarque sur Coumba Gawlo qui a été très tôt piqué par le virus de la musique parce qu’ayant grandi sous l’aile protectrice de son pater Laye Bamba Seck et de sa maman, distinguée cantatrice à Sorano. L’atout de Coumba réside au fait qu’elle a grandi sous la férule d’une famille griotte. Pour ainsi dire que ce n’est pas fortuit que l’interprète de « femme objet » soit une chanteuse de la trempe des illustres. Qui ont donné leurs lettres de noblesse à la musique africaine à l’image de Myriam Makéba, qui est d’ailleurs son idole. En d’autres termes, la célèbre Gawlo n’a pas usurpée son rang de diva accomplie. Seulement, Guissé ne comprend pas « les raisons qui font qu’elle met l’amour constamment en exergue dans ses chansons » Non sans se demander : « c’est comme si elle est privée d’amour, notamment dans son enfance ? On dirait qu’elle est en quête effrénée de cet alter-égo ? » Mais, il faut reconnaitre « qu’elle a du mordant, un talent incontesté et quoi qu’on dise Coumba est une bête de scène aguerrie. Vous voyez comment elle se défoule sur scène. C’est le même cas de figure qu’Adiouza, qui a surpris tout le monde».
Aux yeux de Guissé, qui n’est plus à présenter dans le microcosme du show-biz pour son expertise reconnu dans le domaine, les styles jusque-là incarnés par Viviane, Coumba Gawlo, Adiouza et Titi, diffèrent et « sur toute la ligne ». Elles ont certes de belles voix, mais à degrés divers. « Cela va du soprano à la fluette entre autres » renseigne Guissé. Qui renchérit que : « l’enfance et l’environnement dans lequel elles ont évolué dans leur prime jeunesse, ont beaucoup influé sur leur carrière musicale. Cela se ressent même dans leurs œuvres ». Et le non moins frangin de l’illustre Oumar Pène d’étayer son argumentaire pour faire la remarque sur Coumba Gawlo qui a été très tôt piqué par le virus de la musique parce qu’ayant grandi sous l’aile protectrice de son pater Laye Bamba Seck et de sa maman, distinguée cantatrice à Sorano. L’atout de Coumba réside au fait qu’elle a grandi sous la férule d’une famille griotte. Pour ainsi dire que ce n’est pas fortuit que l’interprète de « femme objet » soit une chanteuse de la trempe des illustres. Qui ont donné leurs lettres de noblesse à la musique africaine à l’image de Myriam Makéba, qui est d’ailleurs son idole. En d’autres termes, la célèbre Gawlo n’a pas usurpée son rang de diva accomplie. Seulement, Guissé ne comprend pas « les raisons qui font qu’elle met l’amour constamment en exergue dans ses chansons » Non sans se demander : « c’est comme si elle est privée d’amour, notamment dans son enfance ? On dirait qu’elle est en quête effrénée de cet alter-égo ? » Mais, il faut reconnaitre « qu’elle a du mordant, un talent incontesté et quoi qu’on dise Coumba est une bête de scène aguerrie. Vous voyez comment elle se défoule sur scène. C’est le même cas de figure qu’Adiouza, qui a surpris tout le monde».