Les prestataires au service des mines de la cité du rail ou facilitateurs pour permis de conduire et qui s'activent à la fois dans la production de plaques d'immatriculation pour véhicules sont très remontés contre leur tutelle. Ces derniers n'imaginent même pas accepter cette tentative de liquidation. Laquelle, ne passera pas, si l'on fie à leurs propos. Ils interpellent le Président Macky Sall sur la hausse des prix passés du simple au double depuis la ratification de la nouvelle mesure.
"Nous nous sommes levés un jour et avons été informés que certaines tarification (plaques, licences et agréments pour les transporteurs), ont vu leurs tarifs doublés. Ils sont passés de 21.660 FCFA à 41.000 FCFA. Nous ne l'acceptons pas et nous interpellons le Président Macky Sall', a lâché le porte-parole du jour Makhtar Faye et prestataire qui signale qu'ils ne vont pas accepter cela.
D'ailleurs, fait-il remarquer, une cessation de toutes leurs activités a été observée depuis que cette nouvelle démarche de leur tutelle en collaboration avec "Capp Karangué" une filiale française, dit-il, qui s'est liguée contre eux.
En effet, cette situation est en vigueur depuis la date du 28 juillet 202i. Surtout, regrettent-ils, aucune communication n'a été faite avec les acteurs à la base avant de prendre cette décision. Aujourd'hui, des centaines de dossiers tardent à être évacués car, ces prestataires ne comptent pas reculer dans cette lutte. D'ailleurs, la question d'un prestataire de service privé opérant dans un service public a été déplorée par ces prestataires thiessois au service des mines.
"Nous nous sommes levés un jour et avons été informés que certaines tarification (plaques, licences et agréments pour les transporteurs), ont vu leurs tarifs doublés. Ils sont passés de 21.660 FCFA à 41.000 FCFA. Nous ne l'acceptons pas et nous interpellons le Président Macky Sall', a lâché le porte-parole du jour Makhtar Faye et prestataire qui signale qu'ils ne vont pas accepter cela.
D'ailleurs, fait-il remarquer, une cessation de toutes leurs activités a été observée depuis que cette nouvelle démarche de leur tutelle en collaboration avec "Capp Karangué" une filiale française, dit-il, qui s'est liguée contre eux.
En effet, cette situation est en vigueur depuis la date du 28 juillet 202i. Surtout, regrettent-ils, aucune communication n'a été faite avec les acteurs à la base avant de prendre cette décision. Aujourd'hui, des centaines de dossiers tardent à être évacués car, ces prestataires ne comptent pas reculer dans cette lutte. D'ailleurs, la question d'un prestataire de service privé opérant dans un service public a été déplorée par ces prestataires thiessois au service des mines.
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