Dans le cadre d'une coopération bilatérale entre l'armée Sénégalaise et l'armée française, une opération de plusieurs jours dénommée "Xaritoo" 2023 a été organisée dans le quadrilatère Ngasobil, Thiadiaye, Dangalma, Khombole, Mont Rolland et Sandiara. Un exercice interarmées qui vise à renforcer l'interopérabilité entre les différentes composantes (Terre, Mer et Air) participantes. C'est dans ce sillage que s'inscrit la journée VIP qui s'est tenue à Mont Rolland en présence du gouverneur de région, Oumar Mamadou Diallo et des autorités militaires et civiles des deux pays.
Selon le général de Brigade Souleymane Kandé commandants des forces conjointes (Sénégal-France)," les Nations-Unies ont voté une résolution et ont confié aux mandants de la force de la coalition franco-sénégalaise de mettre sur pied une force d'intervention, d'interposition entre les belligérants pour atténuer les risques de génocide entre les communautés, mais également protéger les populations et procéder à l'évacuation des ressortissants des pays étrangers, européens, américains ou africains à leur demande. C'est dans ce cadre que les deux pays ont décidé de choisir une opération "amphibie". Il s'est agi, dira-t-il, de déployer les forces conjointes rapidement par la mer, de débarquer les troupes qui vont mener leur action d'interposition. Poursuivant, le général de Brigade Sénégalais a souligné qu "il y a eu des avions de SAS qui ont survolé la zone d'action. Ils ont été appuyés par des hélicoptères de manœuvres qui ont transporté des troupes. Ce sont des hélicoptères d'attaque qui n'ont pas tiré, qui ont simulé le tir, mais qui étaient également présents dans la zone d'action, pour permettre effectivement aux unités d'aller très vite et de procéder à la destruction des objectifs qui étaient assignés aux groupements tactiques", a-t-il fait savoir.
Le Général de Brigade Éthienne Due Peyrou et commandant des éléments Français au Sénégal, est revenu sur le nombre de soldats qui ont participé à ce vaste opération d'envergure. "Cet exercice résumerait en quelques chiffres. Trois milieux, terre, air, mer. Il y a eu mille éléments (500 soldats Sénégalais et 500 soldats Français qui ont été engagés dans cette opération Xaritoo entre nos deux pays. En plus d'un état-major composé de cinquante personnes dont 25 sénégalais et 25 Français commandés par le Général Kandé. C'est l'exercice symbolique de notre coopération entre le Sénégal et la France et de la maturité de notre relation militaire. Nous nous préparons ensemble et chacun apprend sur les capacités de l'autre". Cela nous permet, explique-t-il, de récapituler tout ce qu'on a fait pendant l'année et surtout de mesurer cette technique de travailler ensemble. Quand on fait sauter des parachutistes de nuit, quand on fait voler des aéronefs et des hélicoptères dans le même espace aérien ensemble. D'après lui, " cet exercice valide tout le travail en amont pour ne pas tomber dans l'improvisation afin que l'armée Sénégalaise et l'armée française puissent travailler conjointement sans grande difficulté".
Selon le général de Brigade Souleymane Kandé commandants des forces conjointes (Sénégal-France)," les Nations-Unies ont voté une résolution et ont confié aux mandants de la force de la coalition franco-sénégalaise de mettre sur pied une force d'intervention, d'interposition entre les belligérants pour atténuer les risques de génocide entre les communautés, mais également protéger les populations et procéder à l'évacuation des ressortissants des pays étrangers, européens, américains ou africains à leur demande. C'est dans ce cadre que les deux pays ont décidé de choisir une opération "amphibie". Il s'est agi, dira-t-il, de déployer les forces conjointes rapidement par la mer, de débarquer les troupes qui vont mener leur action d'interposition. Poursuivant, le général de Brigade Sénégalais a souligné qu "il y a eu des avions de SAS qui ont survolé la zone d'action. Ils ont été appuyés par des hélicoptères de manœuvres qui ont transporté des troupes. Ce sont des hélicoptères d'attaque qui n'ont pas tiré, qui ont simulé le tir, mais qui étaient également présents dans la zone d'action, pour permettre effectivement aux unités d'aller très vite et de procéder à la destruction des objectifs qui étaient assignés aux groupements tactiques", a-t-il fait savoir.
Le Général de Brigade Éthienne Due Peyrou et commandant des éléments Français au Sénégal, est revenu sur le nombre de soldats qui ont participé à ce vaste opération d'envergure. "Cet exercice résumerait en quelques chiffres. Trois milieux, terre, air, mer. Il y a eu mille éléments (500 soldats Sénégalais et 500 soldats Français qui ont été engagés dans cette opération Xaritoo entre nos deux pays. En plus d'un état-major composé de cinquante personnes dont 25 sénégalais et 25 Français commandés par le Général Kandé. C'est l'exercice symbolique de notre coopération entre le Sénégal et la France et de la maturité de notre relation militaire. Nous nous préparons ensemble et chacun apprend sur les capacités de l'autre". Cela nous permet, explique-t-il, de récapituler tout ce qu'on a fait pendant l'année et surtout de mesurer cette technique de travailler ensemble. Quand on fait sauter des parachutistes de nuit, quand on fait voler des aéronefs et des hélicoptères dans le même espace aérien ensemble. D'après lui, " cet exercice valide tout le travail en amont pour ne pas tomber dans l'improvisation afin que l'armée Sénégalaise et l'armée française puissent travailler conjointement sans grande difficulté".