Au lendemain de la célébration de la journée du 1er mai marquant la traditionnelle cérémonie de remise des cahiers de doléances des centrales syndicales au président de la République, le secrétaire général de la coordination des forces sociales, par ailleurs secrétaire général de la coordination des Instituteurs du Sénégal, Moussa Diène, a tenu à se prononcer sur les attentes pressantes de la population notamment dans le secteur de l'éducation.
" Le Président de la République a hérité d'un lourd passif social...Il y a des accords signés avec l'équipe sortante mais non encore matérialisés. Ce qu'on appelle les revendications de restitution nous les avons évoqués devant le président pour lui dire plus jamais ça, il ne doit plus y avoir de revendications de restitution. Les revendications de restitution ce sont les accords signés non respectés, les engagements pris mais non honorés. C'est également les droits acquis qui sont souvent confisqués et spoliés. Nous avons fait comprendre au président que nous ne sommes plus à l'ère du reniement et des dilatoires. Ce que nous voulons c'est du concret, du palpable, du visible", a rapporté M. Diène, à la suite de leur face-à-face avec le chef de l'État.
À l'en croire, " les intentions sont bonnes, mais elles ne suffisent pas. Ce qu'attendent les travailleurs de ce nouveau régime, c'est qu'on aille vite et mieux par rapport à la préoccupation des travailleurs de ce pays... il y a aujourd’hui des entreprises qui sont en difficultés, nous avons cité l'exemple de La poste, la Sonacos, les Chemins de fer...".
Et pour le secteur de l'enseignement, le secrétaire général de la Coordination des Instituteurs du Sénégal se veut clair. " Les enseignants décisionnaires sont aujourd’hui dans l'iniquité totale, car étant traités de manière inéquitable et doivent être rétablis dans leur droit. Il y a un décret à réviser pour justement faire de sorte que ces enseignants puissent retrouver leur droit...Le président doit dans les prochains jours signer ce décret qui va réhabiliter les enseignants décisionnaires...", a-t-il indiqué.
" Le Président de la République a hérité d'un lourd passif social...Il y a des accords signés avec l'équipe sortante mais non encore matérialisés. Ce qu'on appelle les revendications de restitution nous les avons évoqués devant le président pour lui dire plus jamais ça, il ne doit plus y avoir de revendications de restitution. Les revendications de restitution ce sont les accords signés non respectés, les engagements pris mais non honorés. C'est également les droits acquis qui sont souvent confisqués et spoliés. Nous avons fait comprendre au président que nous ne sommes plus à l'ère du reniement et des dilatoires. Ce que nous voulons c'est du concret, du palpable, du visible", a rapporté M. Diène, à la suite de leur face-à-face avec le chef de l'État.
À l'en croire, " les intentions sont bonnes, mais elles ne suffisent pas. Ce qu'attendent les travailleurs de ce nouveau régime, c'est qu'on aille vite et mieux par rapport à la préoccupation des travailleurs de ce pays... il y a aujourd’hui des entreprises qui sont en difficultés, nous avons cité l'exemple de La poste, la Sonacos, les Chemins de fer...".
Et pour le secteur de l'enseignement, le secrétaire général de la Coordination des Instituteurs du Sénégal se veut clair. " Les enseignants décisionnaires sont aujourd’hui dans l'iniquité totale, car étant traités de manière inéquitable et doivent être rétablis dans leur droit. Il y a un décret à réviser pour justement faire de sorte que ces enseignants puissent retrouver leur droit...Le président doit dans les prochains jours signer ce décret qui va réhabiliter les enseignants décisionnaires...", a-t-il indiqué.