Le Ministère de l’Environnement et du Développement durable dans le cadre de la politique de sauvegarde de la « grande Niaye » de Pikine- Guédiawaye, abritant le Technopole, informe de la décision du Gouvernement de classer cette surface en zone humide protégée. Selon une note rendue publique dudit ministère, un tel acte signifie l’inscription formelle de cette zone sur la liste des sites protégés par la Convention internationale de Ramsar de 1971. Aussi, les dépendances de la « grande Niaye » seront désormais contenues dans une Réserve naturelle communale de Biodiversité, en rapport avec les Collectivités territoriales limitrophes. La décision de classement (niveau de protection le plus élevé) selon la même source, traduit l’engagement des pouvoirs publics à assurer la préservation de l’Environnement des sénégalais, en application de l’article 25.2 de la Constitution, introduit par la révision de 2016.
La note de finir pour rappeler que cette zone comprenant des dépressions où convergent les eaux provenant de la nappe phréatique et des eaux pluviales, accomplit les fonctions écologiques et socio-économiques que sont le maintien de la biodiversité en servant d’habitat à des espèces floristiques et faunistiques menacées, lieu de reproduction et étapes migratoires pour 223 espèces d’oiseaux ; la contribution inestimable à l’atténuation des inondations, à l’amélioration de la qualité des eaux par le recyclage, à l’épuration bactériologique, à l’interception des matières en suspension, au stockage du carbone atmosphérique par séquestration, à la production d’oxygène et à la dépollution de l’air ; et enfin sert de lieux abritant des activités maraichères occupant un nombre de 600 personnes.
La note de finir pour rappeler que cette zone comprenant des dépressions où convergent les eaux provenant de la nappe phréatique et des eaux pluviales, accomplit les fonctions écologiques et socio-économiques que sont le maintien de la biodiversité en servant d’habitat à des espèces floristiques et faunistiques menacées, lieu de reproduction et étapes migratoires pour 223 espèces d’oiseaux ; la contribution inestimable à l’atténuation des inondations, à l’amélioration de la qualité des eaux par le recyclage, à l’épuration bactériologique, à l’interception des matières en suspension, au stockage du carbone atmosphérique par séquestration, à la production d’oxygène et à la dépollution de l’air ; et enfin sert de lieux abritant des activités maraichères occupant un nombre de 600 personnes.