La question du contrôle des appels entrants au Sénégal s’est invitée dans les discussions entre le président de la République et le bureau du Cdeps. Une occasion pour le chef de l’Etat de réaffirmer sa détermination à ne pas céder sur l’institution d’un système de contrôle et de tarification des communications entrant au Sénégal.
Agitant la fibre nationaliste, Me Wade dira que «la mainmise étrangère sur nos télécommunications est une des dernières résurgences du colonialisme». Avant d'ajouter : «Je ne reculerai pas sur cette affaire ». Et de demander pourquoi notre pays renoncerait-il à 60 milliards de francs CFA par an déjà encaissés par une société étrangère qui est sur le point d’être vendue.
Dans la foulée, le chef de l’Etat avance qu’il avait même un plan B consistant à créer une compagnie avec la Gambie qui s’appellerait Senegamtel au cas où un compromis n’aurait pas été trouvé avec les opérateurs de télécoms.
Agitant la fibre nationaliste, Me Wade dira que «la mainmise étrangère sur nos télécommunications est une des dernières résurgences du colonialisme». Avant d'ajouter : «Je ne reculerai pas sur cette affaire ». Et de demander pourquoi notre pays renoncerait-il à 60 milliards de francs CFA par an déjà encaissés par une société étrangère qui est sur le point d’être vendue.
Dans la foulée, le chef de l’Etat avance qu’il avait même un plan B consistant à créer une compagnie avec la Gambie qui s’appellerait Senegamtel au cas où un compromis n’aurait pas été trouvé avec les opérateurs de télécoms.