Changement de disque aujourd’hui, histoire de changer de disque. Pour Tacko, la NBA n’est pas forcément une fin en soi : il y a d’autres choses que le basket dans la vie.
Il fait 229 centimètres. A 19 ans, il est une véritable star partout où il va et est rapidement devenu une des têtes les plus reconnues du circuit non-professionnel chez l’Oncle Sam. Actuellement membre du Top 60 des êtres humains les plus grands de la planète, Tacko Fall a signé à l’Univertisté de Central Florida où il évoluera dès la saison prochaine. La première tentation serait de se pencher sur ses statistiques (25 points, 15 rebonds et 5 contres), sa domination physique, et tenter de dessiner un semblant de chemin qui pourrait le mener vers la NBA.
Sauf que dans cet excellent mini-documentaire proposé par Bleacher Report (également derrière les épisodes Game of Zones), on découvre ici un jeune homme dont les aspirations dépassent le simple cadre d’un terrain de basket. Arrivé aux Etats-Unis après avoir vécu ses premières années à Dakar, Tacko débarque avec ce corps déjà impressionnant mais n’a pas que la balle orange en tête.
Loin de là même. Ses propos sortent sans la moindre hésitation, comme déterminé à rendre au Sénégal ce qui lui a été donné pendant son enfance, notamment par sa mère : entre Steve Jobs et LeBron, le géant préfère devenir le premier.
Ses notes de lycée cartonnent dans les matières scientifiques, sa rapidité de réflexion est impressionnante pour sa taille (qui n’a pas entendu l’adage plus t’es grand plus t’es…) mais c’est surtout dans son approche du sport que sa démarche étonne.
Comme il le dit si bien, les qualités athlétiques régressent avec l’âge, alors qu’au contraire le savoir ne fait qu’augmenter. Du coup, c’est aussi bien en classe que sur les parquets qu’il tente de dominer, un profil unique qui sera intéressant à suivre dans quelques mois, que ce soit à l’Université ou bien sa potentielle Draft en 2016.
Plutôt sélectionné par Apple ou une franchise en NBA?
Apparemment, son choix est déjà fait : garder l’argent récupéré dans le monde du sport, et retrouver le monde des études et du développement en Afrique dès que possible. Dans une Ligue actuelle qui pousse à venir plus tôt, plus vite et pour rester le plus longtemps possible, bonjour l’OVNI. Quoi qu’il en soit, le discours est impeccable, c’est donc à Tacko de confirmer en poursuivant aussi bien ses rêves de Draft que ceux d’épanouissement personnel.
Trashtalk
Il fait 229 centimètres. A 19 ans, il est une véritable star partout où il va et est rapidement devenu une des têtes les plus reconnues du circuit non-professionnel chez l’Oncle Sam. Actuellement membre du Top 60 des êtres humains les plus grands de la planète, Tacko Fall a signé à l’Univertisté de Central Florida où il évoluera dès la saison prochaine. La première tentation serait de se pencher sur ses statistiques (25 points, 15 rebonds et 5 contres), sa domination physique, et tenter de dessiner un semblant de chemin qui pourrait le mener vers la NBA.
Sauf que dans cet excellent mini-documentaire proposé par Bleacher Report (également derrière les épisodes Game of Zones), on découvre ici un jeune homme dont les aspirations dépassent le simple cadre d’un terrain de basket. Arrivé aux Etats-Unis après avoir vécu ses premières années à Dakar, Tacko débarque avec ce corps déjà impressionnant mais n’a pas que la balle orange en tête.
Loin de là même. Ses propos sortent sans la moindre hésitation, comme déterminé à rendre au Sénégal ce qui lui a été donné pendant son enfance, notamment par sa mère : entre Steve Jobs et LeBron, le géant préfère devenir le premier.
Ses notes de lycée cartonnent dans les matières scientifiques, sa rapidité de réflexion est impressionnante pour sa taille (qui n’a pas entendu l’adage plus t’es grand plus t’es…) mais c’est surtout dans son approche du sport que sa démarche étonne.
Comme il le dit si bien, les qualités athlétiques régressent avec l’âge, alors qu’au contraire le savoir ne fait qu’augmenter. Du coup, c’est aussi bien en classe que sur les parquets qu’il tente de dominer, un profil unique qui sera intéressant à suivre dans quelques mois, que ce soit à l’Université ou bien sa potentielle Draft en 2016.
Plutôt sélectionné par Apple ou une franchise en NBA?
Apparemment, son choix est déjà fait : garder l’argent récupéré dans le monde du sport, et retrouver le monde des études et du développement en Afrique dès que possible. Dans une Ligue actuelle qui pousse à venir plus tôt, plus vite et pour rester le plus longtemps possible, bonjour l’OVNI. Quoi qu’il en soit, le discours est impeccable, c’est donc à Tacko de confirmer en poursuivant aussi bien ses rêves de Draft que ceux d’épanouissement personnel.
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