Une explosion s'est produite ce samedi sur la grande rue piétonne d'Istiklal, dans la partie européenne d'Istanbul, ont rapporté les médias turcs.
L'origine de cette explosion est inconnue mais des ambulances ont été dépêchées sur les lieux, selon l'agence de presse Dogan.
Selon CNN Türk, il s'agirait d'un attentat suicide et il y aurait deux morts et plusieurs blessés. D'autres sources évoquent deux blessés. Aucune information officielle n'a été donnée pour l'heure (samedi, 10h30, heure de Paris)
Ankara frappée
Dimanche dernier, un attentat avait frappé la capitale turque, Ankara, faisant au moins une trentaine de victimes. L'attentat avait été revendiqué par un groupe radical dissident du PKK, les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), en représailles aux opérations menées par l'armée et la police turques contre la rébellion dans plusieurs villes du Sud-Est anatolien. Le groupe a été rapidement soupçonné, tant cette attaque ressemblait, par son mode opératoire, à celle qui a visé le 17 février dernier, toujours à Ankara, un convoi de bus transportant des personnels militaires. L'explosion avait fait 29 morts.
Cinq suspects ont été inculpés et écroués tard vendredi par une cour d'Ankara pour "homicide volontaire" pour leurs liens supposés avec cet attentat.
L'origine de cette explosion est inconnue mais des ambulances ont été dépêchées sur les lieux, selon l'agence de presse Dogan.
Selon CNN Türk, il s'agirait d'un attentat suicide et il y aurait deux morts et plusieurs blessés. D'autres sources évoquent deux blessés. Aucune information officielle n'a été donnée pour l'heure (samedi, 10h30, heure de Paris)
Ankara frappée
Dimanche dernier, un attentat avait frappé la capitale turque, Ankara, faisant au moins une trentaine de victimes. L'attentat avait été revendiqué par un groupe radical dissident du PKK, les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), en représailles aux opérations menées par l'armée et la police turques contre la rébellion dans plusieurs villes du Sud-Est anatolien. Le groupe a été rapidement soupçonné, tant cette attaque ressemblait, par son mode opératoire, à celle qui a visé le 17 février dernier, toujours à Ankara, un convoi de bus transportant des personnels militaires. L'explosion avait fait 29 morts.
Cinq suspects ont été inculpés et écroués tard vendredi par une cour d'Ankara pour "homicide volontaire" pour leurs liens supposés avec cet attentat.