Tout porte à croire que le système de parrainage, tant redouté par l’opposition sénégalaise, motive deux mesures prises lors de la rencontre du Conseil des ministres de ce lundi : le projet de révision constitutionnelle et la modification du code électoral.
Ainsi, presque deux ans, jour pour jour, après le référendum de 2016, on risque d’assister à une énième modification des articles 3 et 24 de la Constitution.
Au cours de l’audience accordée dernièrement aux membres du Cadre de concertation sur le processus électoral, Macky Sall avait jugé le système de parrainage « possible » au Sénégal. Dans ces mêmes colonnes, le porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye, a abordé la question ce week-end à l'occasion d'un meeting à Dakar. L’opposition soupçonne le régime de vouloir financer des « candidats de diversion » et de disperser l’électorat à travers ce système.
Nous promettons d’y revenir.
Ainsi, presque deux ans, jour pour jour, après le référendum de 2016, on risque d’assister à une énième modification des articles 3 et 24 de la Constitution.
Au cours de l’audience accordée dernièrement aux membres du Cadre de concertation sur le processus électoral, Macky Sall avait jugé le système de parrainage « possible » au Sénégal. Dans ces mêmes colonnes, le porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye, a abordé la question ce week-end à l'occasion d'un meeting à Dakar. L’opposition soupçonne le régime de vouloir financer des « candidats de diversion » et de disperser l’électorat à travers ce système.
Nous promettons d’y revenir.
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