Le symposium international de la série Condition Report se tiendra du 18 au 21 décembre 2024 au Musée Théodore Monod d’art africain, à Dakar. Il propose une réflexion sur la relation au monde à travers 4 axes. Selon le directeur du symposium, Felwine Sarr, il s’agit de la ville, le vivant, l’immatériel et la cosmopolitique de l’hospitalité. Cette cinquième édition intitulée « Sense of Place », c’est-à-dire « l’état des lieux », vise à questionner comment les individus habitent et transforment leurs environnements à travers des pratiques artistiques et intellectuelles.
D’après lui, quand on parle de la réflexion sur la ville, c’est la manière dont on habite la ville car, la ville pose des défis démographiques, d’efficacité, d’urbanité. Si l’on en croit ses propos, le continent Africain est un continent qui a une grande démographie et la manière dont on habite nos villes est une question importante. Abordant la question de l’écologie, il indique que les gens vivent dans une société et dans un monde qui représente de grands défis écologiques dont la relation aux vivants. En d’autres termes, c’est la manière d’habiter le monde donc habiter la terre, habiter la nature, articuler avec elles des relations harmonieuses dans une époque.
En outre, Il y a aussi la question des liens intangibles c’est-à-dire que nos villes sont des espaces de l’immatériel ou des espaces de cosmologie, de cosmogonie, de mythologie et fondé sur des bases mythologiques. Enfin, pour la question de l’hospitalité, il évoque l’inhospitalier du monde en relevant le caractère frontalier ou le droit à la mobilité est réduite notamment pour les africains dans un espace où les frontières produisent un mort. Alors, il adviendra de repenser au niveau global une cosmopolitique de l’hospitalité, des lieux qui sont ouverts, des lieux ou des individus circulent, des communautés élargies. Autrement dit, réinventer la communauté humaine où les individus ont le droit d’être, de s’établir, le droit de vie dans les espaces qui sont reconnus comme appartenant à une communauté globale.
Ces questions seront explorées par un éventail d’universitaires, de géographes, de philosophes, d’activistes, d’artistes, d’architectes, de cinéastes, de conservateurs et de collectifs aux pratiques innovantes. Ses participants partageront leurs expériences afin d’offrir une plateforme de réflexion aux différents acteurs.
En tout état de cause, l’un des grands défis pour lui, constitue la manière de pouvoir habiter le monde de manière juste. Parce que, dit-il, « on n'a pas le même rapport au monde. Certains ont le droit de l’habiter d’une manière qui leur sied, d’autres sont confinés, sont contraints, sont entravés dans leur habilité à habiter pleinement le monde ».
D’après lui, quand on parle de la réflexion sur la ville, c’est la manière dont on habite la ville car, la ville pose des défis démographiques, d’efficacité, d’urbanité. Si l’on en croit ses propos, le continent Africain est un continent qui a une grande démographie et la manière dont on habite nos villes est une question importante. Abordant la question de l’écologie, il indique que les gens vivent dans une société et dans un monde qui représente de grands défis écologiques dont la relation aux vivants. En d’autres termes, c’est la manière d’habiter le monde donc habiter la terre, habiter la nature, articuler avec elles des relations harmonieuses dans une époque.
En outre, Il y a aussi la question des liens intangibles c’est-à-dire que nos villes sont des espaces de l’immatériel ou des espaces de cosmologie, de cosmogonie, de mythologie et fondé sur des bases mythologiques. Enfin, pour la question de l’hospitalité, il évoque l’inhospitalier du monde en relevant le caractère frontalier ou le droit à la mobilité est réduite notamment pour les africains dans un espace où les frontières produisent un mort. Alors, il adviendra de repenser au niveau global une cosmopolitique de l’hospitalité, des lieux qui sont ouverts, des lieux ou des individus circulent, des communautés élargies. Autrement dit, réinventer la communauté humaine où les individus ont le droit d’être, de s’établir, le droit de vie dans les espaces qui sont reconnus comme appartenant à une communauté globale.
Ces questions seront explorées par un éventail d’universitaires, de géographes, de philosophes, d’activistes, d’artistes, d’architectes, de cinéastes, de conservateurs et de collectifs aux pratiques innovantes. Ses participants partageront leurs expériences afin d’offrir une plateforme de réflexion aux différents acteurs.
En tout état de cause, l’un des grands défis pour lui, constitue la manière de pouvoir habiter le monde de manière juste. Parce que, dit-il, « on n'a pas le même rapport au monde. Certains ont le droit de l’habiter d’une manière qui leur sied, d’autres sont confinés, sont contraints, sont entravés dans leur habilité à habiter pleinement le monde ».