La question mérite d’être posée suite à l’inopiné incendie d’une rare violence qui s’est déclaré hier aux environs de 21 heures et révélé en exclusivité par Dakaractu.
En effet, ils sont nombreux à se poser encore des questions sur les vraies raisons du regrettable sinistre.
Sans chercher midi à quatorze heures, certains commerçants, qui ont pignon sur rue au mythique mais archaïque marché Sandaga, ont, comme s’ils s’étaient passé le mot, pointé du doigt, l’actuel maire de Dakar, Khalifa Sall. Ce dernier, tel un chérubin qui s’est égaré ne cessait hier d’écarquiller ses yeux, encaissant de temps à autres des huées entre autres quolibets que la décence nous interdit de relater.
En effet, ils (ndlr : les marchands) étaient légion hier à spontanément faire le déplacement, particulièrement ceux qui sont établis à Sandaga qui, pour s’enquérir de l’ampleur des dégâts ; qui pour saisir l'opportunité pour déverser leur bile sur le successeur de Pape Diop aux manettes de la mairie de Dakar. Ce dernier, non moins ex président du Sénat, qui suivait certainement l'évolution du sinistre, a sauté sur ‘’l’aubaine’’ en investissant, avec sa tenue décontractée, accompagnés de quelques proches, les alentours dudit marché avant de tirer à bout portant sur son successeur mais également l'Establishment.
Que dire de ce gars, sorti de nulle part, armé d’injures et de haine qu’il a littéralement déversé des insanités sur la silhouette de Khalifa Sall, lequel, connu pour sa courtoisie et sa disponibilité a fini par péter les câbles ? En somme, n’eussent été quelques bonnes volontés qui l’ont retenu, l’actuel maire de Dakar allait répondre à la provocation de ce mécontent sorti d’on ne sait où.
Question : qui trouve vraiment son compte dans cet incendie, si et seulement si la cause est volontaire, comme d'aucuns le croient mordicus ? Certains croient savoir que des pourfendeurs de Khalifa Sall, qui ne souhaiteraient que sa perte, notamment avec la fermeture de cette vieille bâtisse, pourraient bien être le ou les auteurs de cet acte ignominieux. L’enquête ouverte nous édifiera peut être ! A moins que…
En effet, ils sont nombreux à se poser encore des questions sur les vraies raisons du regrettable sinistre.
Sans chercher midi à quatorze heures, certains commerçants, qui ont pignon sur rue au mythique mais archaïque marché Sandaga, ont, comme s’ils s’étaient passé le mot, pointé du doigt, l’actuel maire de Dakar, Khalifa Sall. Ce dernier, tel un chérubin qui s’est égaré ne cessait hier d’écarquiller ses yeux, encaissant de temps à autres des huées entre autres quolibets que la décence nous interdit de relater.
En effet, ils (ndlr : les marchands) étaient légion hier à spontanément faire le déplacement, particulièrement ceux qui sont établis à Sandaga qui, pour s’enquérir de l’ampleur des dégâts ; qui pour saisir l'opportunité pour déverser leur bile sur le successeur de Pape Diop aux manettes de la mairie de Dakar. Ce dernier, non moins ex président du Sénat, qui suivait certainement l'évolution du sinistre, a sauté sur ‘’l’aubaine’’ en investissant, avec sa tenue décontractée, accompagnés de quelques proches, les alentours dudit marché avant de tirer à bout portant sur son successeur mais également l'Establishment.
Que dire de ce gars, sorti de nulle part, armé d’injures et de haine qu’il a littéralement déversé des insanités sur la silhouette de Khalifa Sall, lequel, connu pour sa courtoisie et sa disponibilité a fini par péter les câbles ? En somme, n’eussent été quelques bonnes volontés qui l’ont retenu, l’actuel maire de Dakar allait répondre à la provocation de ce mécontent sorti d’on ne sait où.
Question : qui trouve vraiment son compte dans cet incendie, si et seulement si la cause est volontaire, comme d'aucuns le croient mordicus ? Certains croient savoir que des pourfendeurs de Khalifa Sall, qui ne souhaiteraient que sa perte, notamment avec la fermeture de cette vieille bâtisse, pourraient bien être le ou les auteurs de cet acte ignominieux. L’enquête ouverte nous édifiera peut être ! A moins que…