Dallas : c’est le nom d’une série télévisée américaine très connue des Sénégalais dans les années 80. Cette ville du Texas est présente dans le film de la vie du Sénégalais Amadou Diaby, qui en est revenu en 2015 après un séjour de cinq ans.
L’homme a compris que le retour au bercail n’est pas un échec ou une honte. C’est pourquoi, aujourd’hui, il s’est reconverti dans l’agriculture, l’élevage et le bâtiment qui lui permettent de vivre décemment chez lui. Il possède 2500 ha emblavés sous l’assistance technique de la Sodagri et emploie 2200 producteurs saisonniers et 85 permanents.
Outre d’avoir créé ces nombreux emplois, Diaby fait souvent des séances de sensibilisation auprès des jeunes sur les dangers de l’émigration clandestine. De plus, il leur explique le concept « on peut travailler et réussir ici sans aller nulle part ».
« J’ai fait cinq ans aux Etats-Unis. Beaucoup de raisons expliquent mon retour au Sénégal. J’ai vu la précarité, la promiscuité et les conditions désastreuses dans lesquelles vivent les migrants là-bas. C’est pourquoi j’ai compris que les activités que les émigrés mènent loin de leurs familles, ils peuvent les mener ici et réussir », laisse-t-il méditer.
« À travers des séances de sensibilisation, je tente de conscientiser les jeunes candidats à l’émigration clandestine comme notre région est réputée être un grand foyer de pourvoyeurs de migrants. Je ne veux pas que ces jeunes aillent mourir inutilement dans le désert alors que chez eux toutes les conditions sont réunies pour réussir (bonne terre et pluviométrie) », conseille-t-il.
Dans sa contrée, il est devenu un modèle de réussite. Sa saga à l’américaine motive les jeunes. Cependant, il faut croire en ses possibilités et faire confiance dans les politiques de développement mises en place par l’État.
L’homme a compris que le retour au bercail n’est pas un échec ou une honte. C’est pourquoi, aujourd’hui, il s’est reconverti dans l’agriculture, l’élevage et le bâtiment qui lui permettent de vivre décemment chez lui. Il possède 2500 ha emblavés sous l’assistance technique de la Sodagri et emploie 2200 producteurs saisonniers et 85 permanents.
Outre d’avoir créé ces nombreux emplois, Diaby fait souvent des séances de sensibilisation auprès des jeunes sur les dangers de l’émigration clandestine. De plus, il leur explique le concept « on peut travailler et réussir ici sans aller nulle part ».
« J’ai fait cinq ans aux Etats-Unis. Beaucoup de raisons expliquent mon retour au Sénégal. J’ai vu la précarité, la promiscuité et les conditions désastreuses dans lesquelles vivent les migrants là-bas. C’est pourquoi j’ai compris que les activités que les émigrés mènent loin de leurs familles, ils peuvent les mener ici et réussir », laisse-t-il méditer.
« À travers des séances de sensibilisation, je tente de conscientiser les jeunes candidats à l’émigration clandestine comme notre région est réputée être un grand foyer de pourvoyeurs de migrants. Je ne veux pas que ces jeunes aillent mourir inutilement dans le désert alors que chez eux toutes les conditions sont réunies pour réussir (bonne terre et pluviométrie) », conseille-t-il.
Dans sa contrée, il est devenu un modèle de réussite. Sa saga à l’américaine motive les jeunes. Cependant, il faut croire en ses possibilités et faire confiance dans les politiques de développement mises en place par l’État.
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