Le président du directoire de campagne du candidat Abdoulaye Wade, Souleymane Ndéné Ndiaye, a démenti dimanche l’existence d’un quelconque plan B au sein du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) et dont l’objectif serait de trouver un candidat de substitution au cas où le Conseil constitutionnel jugeait que le président Wade ne peut briguer un nouveau mandat à la tête du Sénégal.
‘’Il n’y a pas de plan B au sein du PDS, il n’y a qu’un seul plan A, c’est tout. Nous n’avons pas de plan B, nous avons un plan A’’, a-t-il martelé à l’émission "Et si on en parlait" de la Télé Futurs Médias (privée).
Il promet que les libéraux ‘’assumeront la décision du Conseil constitutionnel’’ au cas où la candidature du leader du PDS était rejetée.
Le Secrétaire général national du PDS, Abdoulaye Wade, a déclaré sa candidature à un mandat à la tête du Sénégal. Mais de nombreux opposants et des acteurs de la société civile ont exprimé leur opposition à l’idée de le voir se présenter à l’élection présidentielle du 26 février prochain, en jugeant que la Constitution lui interdit "un troisième mandat".
Mais cet argument est battu est en brèche par son parti et les alliés de la majorité présidentielle. Le Conseil constitutionnel devrait se prononcer sur la question le 29 janvier prochain.
‘’Il n’y a pas de plan B au sein du PDS, il n’y a qu’un seul plan A, c’est tout. Nous n’avons pas de plan B, nous avons un plan A’’, a-t-il martelé à l’émission "Et si on en parlait" de la Télé Futurs Médias (privée).
Il promet que les libéraux ‘’assumeront la décision du Conseil constitutionnel’’ au cas où la candidature du leader du PDS était rejetée.
Le Secrétaire général national du PDS, Abdoulaye Wade, a déclaré sa candidature à un mandat à la tête du Sénégal. Mais de nombreux opposants et des acteurs de la société civile ont exprimé leur opposition à l’idée de le voir se présenter à l’élection présidentielle du 26 février prochain, en jugeant que la Constitution lui interdit "un troisième mandat".
Mais cet argument est battu est en brèche par son parti et les alliés de la majorité présidentielle. Le Conseil constitutionnel devrait se prononcer sur la question le 29 janvier prochain.