DAKARACTU.COM - La table ronde tenue hier, sur le thème «Sonatel, une cause nationale», a conduit le Général Mouhamadou Mansour Seck et Mansour Kama, Président de la CNES, à enfiler leurs tenues de combat pour aller au front contre la surtaxe sur les appels entrants.
« Il y a sept millions de portables au Sénégal. Tout le monde en a un aujourd’hui, quelles que soient les échelles sociales. La modernisation, c’est pour tous. Nous sommes un pays de diaspora, il y a 3 millions de Sénégalais à l’extérieur», constate d’emblée le général Mouhamadou Mansour Seck qui invite tous les Sénégalais à faire du combat de la Sonatel un combat citoyen et de patriotisme économique. Car, croit-il fermement, "c’est la question du développement économique du pays qui se pose." Sur la même lancée, le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes), Mansour Kama, recommande que la concertation soit la première démarche à adopter. «La question qu’il faut se poser, c’est de savoir si cette surtaxe vaut la peine d’être appliquée, alors même que les risques sont patents concernant la perte d’emplois, de recettes et ont un impact important sur le développement économique», lance Kama qui constate de réelles menaces. D’où son appel pour une médiation avec les autorités afin de remettre sur la table cette question des recettes de l’Etat dans le secteur des télécommunications.
« Il y a sept millions de portables au Sénégal. Tout le monde en a un aujourd’hui, quelles que soient les échelles sociales. La modernisation, c’est pour tous. Nous sommes un pays de diaspora, il y a 3 millions de Sénégalais à l’extérieur», constate d’emblée le général Mouhamadou Mansour Seck qui invite tous les Sénégalais à faire du combat de la Sonatel un combat citoyen et de patriotisme économique. Car, croit-il fermement, "c’est la question du développement économique du pays qui se pose." Sur la même lancée, le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes), Mansour Kama, recommande que la concertation soit la première démarche à adopter. «La question qu’il faut se poser, c’est de savoir si cette surtaxe vaut la peine d’être appliquée, alors même que les risques sont patents concernant la perte d’emplois, de recettes et ont un impact important sur le développement économique», lance Kama qui constate de réelles menaces. D’où son appel pour une médiation avec les autorités afin de remettre sur la table cette question des recettes de l’Etat dans le secteur des télécommunications.